Theo-reme de l'inceste (1)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... apprendre des secrets d’adultes qui, pour le moment, m’étaient totalement étrangers. « Ha ! T’es bonne du cul, vieille morue…, dommage que tu sois bourrée et que tu pue de la gueule comme un gendarme des pieds… ! .. J’vais t’remplir le pot, morue ! » Et là, je vis le mec s’arque-bouter, cramponner de toutes ses forces les hanches de ma mère et râler pendant de longues secondes, alors même que ma vieille râlait à l’unisson. Puis l’homme s’abattit de tout son poids sur ma mère, sa bite toujours enfichée dans le cul de maman. Et cette dernière grognait une sorte de : « Casse-toi connard…, barre-toi, tu as eu ce que tu voulais, dégage… ! » Sa langue semblait collé au palais, je reconnaissais cette voix de fin de soirée bien trop arrosée, quand ma vieille était bourrée et qu’elle devenait très agressive. « T’inquiète, vieille chouette, mais avant de partir, tu vas me nettoyer la bite…, allez, plus vite que ça…, suce… ! » L’homme s’était mis à quatre patte et était venu présenter sa queue encore droite devant le visage de ma mère, puis, lui tenant le menton, une fois qu’elle eût fini de parler, lui enfourna sa queue. « Allez, bouffe, morue…, mets-la propre…, je ne veux pas une seule trace de ta merde sur ma belle bite… ! .. Ma femme n’a pas à bouffer ta merde, connasse... ! » yhuyjjdw De là où j’étais, je faisais face à l’homme, mais ce dernier, dans la pénombre, sûrement passablement alcoolisé, ne me voyait pas. Seule la petite lampe de chevet à droite du lit, donnait une lumière ...
... qui coulait sur le lieu du vice, sur cette scène obscène, sur ce lit de dépravation. Ma vioque suçait la bite que le mec venait de lui mettre dans le cul ! Pouah ! Quelle horreur ! Quelle abomination ! Mais comment cette femme qui m’avait mis au monde pouvait se laisser aller à une telle bassesse ! « Bon allez, mémé, faut que je rentre chez moi avant que ma femme ne rentre du boulot… ! .. Je prends ta caisse, tu la retrouveras devant l’église du Sanitas… ! – Non, connard ! Pas touche à ma voiture… ! » "Connard", ça c’était le mot de ma mère ! Elle traitait souvent mon père de connard et là, en plus, elle était visiblement bien bourrée et ne pouvait plus articuler grand chose ! Je me poussai dans la petite chambre, presque en face de celle de ma mère, me planquai derrière la porte, mais entre la porte et le mur, je pouvais encore apercevoir les deux affreux ! L’homme se rhabillait prestement, ma mère essaya de se mettre debout, mais avec la secouée qu’elle venait de prendre et l’alcool aidant, elle glissa et se retrouva par terre à coté du lit : « Aide-moi connard… ! – Quand tu seras polie, vieille connasse blonde ! Quand tu seras polie… ! .. Allez, bye ma salope… ! – Touche-pas à ma bagnole, connard ! – Tu as fais des pieds et des mains pour que je vienne chez toi, et tu m’as promis de me ramener, tu n’es pas en état, tu retrouveras ta caisse devant l’église du Sanitas, je te l’ai dis, je n’ai qu’une parole… ! .. Les clefs seront sur la roue avant droite… ! – Sale connard… ! ...