1. Un marché au culte


    Datte: 31/08/2019, Catégories: fh, fagée, jeunes, profélève, Collègues / Travail école, chantage, intermast, facial, Oral fplusag,

    ... accord ! Je m’assieds dans son fauteuil, beaucoup plus confortable que celui de Séverine, et c’est reparti. C’est bien la première fois que je me fais sucer par deux femmes différentes dans la même journée. Ce n’est pas pour me déplaire. Je dirais même que ma nouvelle partenaire est très douée, mon pénis est vraiment à son maximum et elle arrive tout de même à l’engloutir jusqu’au bout. Le rythme est bon, pas trop lent, pas trop rapide. Même pas besoin de guider le mouvement. Je sens que du jus sort régulièrement de mon gland, je suis très excité. C’est incroyable de voir cette femme, qu’on imaginerait plutôt faire des mots croisés avec son caniche à côté, s’affairer sur mon sexe, le masturber, lécher le gland, faire glisser ses lèvres tout autour. J’essaie de faire durer le plaisir un maximum, mais la nature est plus forte, je sens que je vais bientôt venir. Elle le sent immédiatement et dégrafe son tailleur pour montrer une poitrine bien mise en valeur par son soutien-gorge. À côté de Séverine, c’est faible, mais assez sympa quand même. Elle lâche mon pénis et enlève totalement son tailleur. — Oh vas-y, mets-moi tout là ! OK, pas de souci ! Je prends mon membre, le frotte contre le dessus de sa poitrine, ce qui crée un long fil de sperme entre mon gland et son corps. Je me masturbe en la regardant dans les yeux. Le fil lâche au niveau de sa poitrine et revient vers moi en salissant mon pantalon. Ce n’est que partie remise, dans deux secondes elle sera plus sale que moi. Oh ...
    ... oui, je jouis, je jouis sur cette vieille femme en chaleur, je ferme les yeux en étouffant un râle. Mon pénis est en feu, je continue à me branler, je sens ma queue qui tressaute encore. C’est terminé, le réservoir est vide, la pompe a besoin de repos. J’ouvre les yeux pour voir la coquine tout sourire, son ventre, ses seins sont maculés. — Eh bien, il t’en restait encore un peu, on dirait… Je ne sais pas trop quoi lui dire… Que dire à une femme qu’on connaît à peine et qu’on vient d’asperger ? — Je vous vois demain soir ?— Oui, demain soir, 19 h. Elle s’essuie, m’indique son adresse et s’installe à son bureau. Qui pourrait deviner ce qu’elle faisait il y a deux minutes ? À mon tour, après avoir repris mon souffle, je me rhabille et sors de son bureau. Après une soirée et une nuit tranquilles, je suis reparti pour une journée de stage. Vais-je voir Séverine, lui dire quoi que ce soit à propos d’hier ? Après une courte réflexion, je décide de ne pas la voir en tête à tête aujourd’hui. Je parviens à l’éviter avec succès pendant toute la journée. 18 h, la journée est terminée, je sors de la faculté et rentre chez moi pour me reposer une petite demi-heure avant de me rendre à mon rendez-vous. C’est alors qu’on frappe à ma porte. Bêtement, j’ouvre la porte. — Benjamin, j’ai envie de toi depuis ce matin. Oh non Séverine, ce n’est pas le moment ! J’ai cependant un défaut, je ne peux rien refuser à une belle paire de loches. J’essaie, tant bien que mal, de la repousser poliment mais ...