Une éducation conjugale : deux ans après
Datte: 01/09/2019,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
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... faire sortir de notre quotidien. Néanmoins, quelles que soient la situation et la période, je m’évertue presque continuellement à mettre en pratique ces principes. Je dois avouer que Carole m’aide bien en cela. En effet, même si elle a parfois encore un peu de mal, elle arrive de plus en plus à se libérer de ses principes et autres préjugés. Et si elle est rarement à l’initiative d’une nouveauté, elle est souvent partante. Il y a ainsi quelques moments d’exception qui peuvent mériter un petit récit du fait de leur originalité ou de leur spontanéité, et qui me permettront d’illustrer la mise en pratique des principes énoncés plus haut. Je suis de ceux qui pensent que la chance n’existe pas. Il n’y a pas d’un côté les chanceux, auxquels la vie sourit toujours, et de l’autre les malchanceux qui, quoiqu’ils fassent, ont toujours la vie contre eux. À mon avis, il y a juste des personnes qui savent saisir les occasions, et en tirer profit, et d’autres, peut-être trop timides ou passifs, qui laissent passer leur chance. Ces derniers auront ainsi tendance à penser qu’ils n’ont pas de chance dans la vie, alors qu’en fait, ils n’ont pas fait ce qu’ils auraient du faire ou du moins pas au bon moment. En amour, dans une vie de couple de tous les jours, c’est cela l’imprévu : savoir saisir les opportunités. Cela se passe alors que nous sommes sur une plage avec plusieurs amis soit une bonne vingtaine de personnes, adultes et enfants réunis. La météo est excellente avec un très beau ...
... soleil. Chaque famille est arrivée en bateau sur cette plage. Avec Carole, nous sommes pêcheurs ; je précise au sens littéral du mot, c’est-à-dire que nous pratiquons à l’occasion la pêche en mer. Donc, après le pique-nique, nous décidons d’aller pêcher un peu à la traîne pas trop loin du bord. Nous proposons à nos enfants de nous accompagner, mais trop occupés à jouer avec leurs copains, ils déclinent la proposition. Nous nous retrouvons donc sur le bateau tous les deux avec uniquement le plus jeune. Imaginez un modeste hors-bord d’environ 5 m de long avec un cockpit central derrière lequel une banquette permet de s’asseoir à deux et une banquette à l’avant. Nous montons tous les trois dans le bateau, et je mets en marche au ralenti après avoir mis les cannes à l’eau. Carole s’assoit devant avec notre jeune enfant dans les bras et je me mets à la barre en m’asseyant sur la banquette. Le plan d’eau est assez fréquenté et je fais attention aux bateaux aux alentours. Assez vite, le bruit du moteur et le léger tangage ont un effet berçant qui endort l’enfant. Carole le dépose donc à l’avant sur un coussin en le protégeant du soleil avec une toile. Ce dernier détail n’a aucune importance pour l’histoire, mais il est toujours bon de rappeler qu’il est primordial de mettre les enfants, surtout les plus jeunes, à l’abri des rayons du soleil. Ensuite Carole vient s’asseoir à ma droite, et nous commençons à discuter. Nous sommes tous les deux en maillot de bain ; celui de Carole est un ...