1. Xanths (6)


    Datte: 01/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... cette salope. Regarde, elle attend que ça. — Elle a pas la chatte rasée. Je préfère quand elles ont le poil rasé. Et c’est lui qui osait dire ça… — On s’en tape, baise là on la rasera après. — Non… S’il vous plait… Pas ma toison… Ah ! — Ta gueule ma belle, tu sais on t’aime bien. On voudrait pas que tu crève dans d’atroces souffrances. Si tu veux on te la laisse maintenant, mais après on rase tout, c’est pour ton bien. Regarde, y autre chose que tu vas prendre pour ton bien. J’écartai mes grandes lèvres de mes deux mains, regardant dans un état second le second ogre à me prendre par la vulve, dans un long soupir de plaisir. Il s’enfonça directement jusqu’à la garde, mon étui étant déjà bien mouillée par tout ce qui s’était passé avant. Les deux me lâchèrent, et je m’effondrai : je me sentais complètement possédée par ces deux énormes sexes, qui me portait plusieurs centimètres au-dessus du sol ; mes deux jambes pendaient de part et d’autres des deux queues profondément ancrées en moi. Le plaisir était inouï : déjà que j’avais eu l’impression de me faire écarteler par derrière, le devant me permis de fendre les cieux d’un cri de bonheur. — Ah ! J’en peux plus… Vous êtes trop gros… L’ogre de devant attrapa mes pointes avec ses doigts gigantesques, les faisant rouler. L’autre m’attrapa par les hanches et me souleva, très lentement : j’hurlai. Bientôt, seuls leur deux glands me pénétraient, et il me lâcha : je m’effondrai violement, explosant mon col au passage, dans un hurlement ...
    ... de plaisir. Il répéta l’opération trois fois, et j’eus encore un orgasme : incontrôlable, mon corps commença à avoir de violents spasmes : des vagues de plaisirs et de frissons partaient à la fois de ma fleur et de mon cul, montant jusqu’à la racine de mes cheveux et le long de mes jambes, s’enchaînant à l’infini ; l’orgasme me parut durer des heures. L’ogre derrière moi se retira, accrochant mes mains derrière la nuque de l’autre. J’étais complètement dans les vapes, mes seins se frottaient sur son torse poilu : au bout de quelques secondes, il me déchargea tout son foutre brûlant dans la vulve. Il me déposa sur le sol. Le second m’écarta les cuisses de manière indécente, exposant ma foufoune dégoulinante de sperme, et entra en moi jusqu’à la garde, en m’écrasant. Ses couilles vinrent frapper mon anus complètement dilaté des suites de son passage, et il gicla au fond de mon ventre, avant de se retirer. Complètement exposée au clair de lune, les cuisses grandes écartées, j’avais de temps en temps de petits spasmes : mon vagin se contractait tout seul, expulsant quelques gouttes de sperme à chaque fois, le sourire aux lèvres. Septima semblait m’avoir oublié, pour mon plus grand bonheur. Ou mon plus grand malheur plutôt. — Putain, c’était bon. — Ouais, t’as eu une idée de génie en piquant cette fiole. On la rase ou on lui file tout de suite ? — Bah file lui tout de suite, si on attend trop ça va être le bordel. L’un des deux ogres partit en direction des pagnes. De toute façon ...