1. Le bon coin


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois

    J'aime à rendre service. C'est dans mon ADN. Il arrive parfois que cela soit payé d'ingratitude. Ce genre d'avanie ne m'a jamais découragé. Ma philosophie est de faire confiance aux autres et d'aller de l'avant. Il est vrai que pour cette fois je n'eus à faire trop d'effort pour être motivé et entraîné. Il s'agissait d'une belle blonde (désesperate housewife) fraîchement divorcée et dont j'étais ami de l'ex-époux. J'avais spontanément offert mes services. Les méchants diront que mon élan était d’opportunisme et que depuis longtemps je convoitais cette belle personne.A ces calomnies j'oppose un mépris poli. J'avais vu surtout que la pauvre se noyait dans un verre d'eau et que tous ces détails et soucis matériels allaient finir par l’achever. Mon rôle était de déblayer et de lui simplifier la vie. Je suis irremplaçable en ce genre d'adversité. A mon ancien boulot on m'avait surnommé le bulldozer. Je ne lâchais rien. Je menais au bout mes missions. Pour la belle Blandine je fus sûrement allé jusqu'au bout de la Terre. J'orchestrais son déménagement et vendais le surplus sur le site « Bon coin ». Elle avait cependant toujours son sourire triste.Je lui représentais que c'était un mauvais moment à passer et que bien d'autres avaient traversé. J'étais le bon samaritain à l’occasion et elle en rencontrerait bien d'autres. Elle ne devait pas se laisser abattre et que sans doute il lui serait offert l'opportunité d'une nouvelle vie. A quarante balais on n'est pas fini. Moi à plus de ...
    ... soixante je pète le feu et dévore la vie à pleine-dent. Le début de la retraite avait sonné pour moi comme un nouveau départ. A mes dires enfin elle souriait. Je l 'encourageais à ménager son ancien mari et à préserver l'équilibre émotionnel de ses enfants.D'autres gars s’étaient offerts à l'aider. Elle m'avoua avoir décliné leurs offres car leur mobile était sordide car intéressé. Elle éprouvait pour la première fois et cruellement qu'une femme divorcée devenait du coup une proie et un gibier. Ces salauds couraient à la curée. Gêné je baissais les yeux, la honte me traversant que je pus comme ces coquins être animé du même calcul graveleux. Etais-je à la hauteur de sa confiance candide ? Je me promettais de ne toucher jamais à Blandine.Mon goût pour elle ne m’interdisait pas de demeurer un gentleman.Elle m'assurait qu'elle était tout en confiance avec moi. Je goûtais moyennement que je lui évoquais un peu son père. Elle ajouta avec le dernier sérieux que trop d'hommes l'avait déçu dont son mari. Je tâchais de défendre celui-ci qui était encore un ami. Je dus quand même concéder que le mâle est souvent hâbleur et lâche. Nous promettons beaucoup et assurons peu. J'hasardais qu’elle était encore une jolie femme et que sûrement et bientôt se présenterait un preux chevalier qui lui redonnerait goût à la vie. Souriante elle répondait : « Tu n'en as pas marre de dire des bêtises. »Puis il y eût cet épisode. Un jour par inadvertance un SMS lui parvint sur son iphone qu’elle avait ...
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