Week-end
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
2couples,
couplus,
copains,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
jeu,
entrecoup,
... fait drôle. À la fois excitant, et agaçant. Elle referme les doigts, ne fait pas le tour… Elle demande : — Mais… comment tu peux… Sophie déclare fièrement : — Je peux : bien en main, bien en bouche, bien en con ! Je demande : — Et bien en cul ? Pour toute réponse, Sophie a un petit sourire… J’imagine aussitôt l’énorme bite d’André (et pourquoi pas la mienne) dans le cul somptueux de Sophie… À ce moment André ouvre un œil, et a une réaction surprenante en découvrant le tableau. Au lieu de profiter de la situation et de déguster l’instant, il bondit sur ses pieds en protestant. Il a un air vaguement ridicule, râlant avec sa pine bien dressée. On éclate de rire ! Le ciel est devenu menaçant : il faut redescendre. À regret on se rhabille, on entame la descente. On croise quand même avec une certaine délectation sadique quelques familles qui montent au lac. Bon courage ! Une petite pluie nous surprend à un quart d’heure du chalet. Avec André, on voudrait finir en courant, les filles préfèrent se faire mouiller. Comme on n’est pas loin et que Martine connaît bien les lieux, on décide qu’André et moi partons devant pour allumer la cheminée. Quand on arrive au gîte, l’orage se déchaîne brutalement, avec des éclairs, du tonnerre… J’espère que les filles ne vont pas tarder. Elles seront sûrement complètement trempées jusqu’aux os. On allume un grand feu, et on les attend. Elles arrivent assez vite, encore plus mouillées qu’on le pensait. On les cueille dès l’entrée, et pour ne pas ...
... mettre d’eau partout on les fait se déshabiller. On les aide, car même les sous-vêtements sont mouillés, et glissent mal. Elles grelottent. En plus, elles ont eu peur de l’orage, à juste titre d’ailleurs. Une fois nues, on les frotte avec des serviettes de toilette, et on les emmène à la salle de bain, sous la douche bien chaude. Du coup, on est copieusement mouillés aussi et on se déshabille pour les rejoindre dans la cabine. Celle-ci a beau être relativement spacieuse, pour quatre elle est un peu limite. On va y rester un bon moment, à s’arroser en riant très fort pour faire semblant de ne pas remarquer les contacts plus ou moins hasardeux, plus ou moins appuyés entre les fesses, les sexes, les seins, les torses. C’est en demi érection qu’on sort de là. On se frotte tous à nouveau, on s’enveloppe dans les sorties de bain et on va vers le feu. L’orage s’est éloigné, mais il pleut toujours. Sophie est à la fenêtre, songeuse. Elle murmure : — Vous avez vu Lady Chaterley à la télé ? À un moment, il pleut, très fort. Alors, elle se met nue et court sous la pluie. Elle court, elle court. Le garde-chasse la regarde, puis il se déshabille aussi, et il court aussi, il lui court après, ils roulent dans les feuilles mortes et ils font l’amour sous la pluie… Depuis, j’y pense souvent : mon phantasme serait de courir nue sous la pluie, les éclairs, le tonnerre, poursuivie par des satyres qui m’inonderaient de leur sperme…— Je n’y avais jamais pensé, remarque Martine, mais, au fond, pourquoi ...