Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (8)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Divers,
Lundi 10 juillet. C’est le jour choisi pour nous rendre à Prague, et y séjourner jusqu’au jeudi. Après quoi, vendredi matin retour à la maison, car le départ pour les « grandes vacances » est prévu pour le dimanche 16. Toute la famille, moi y compris, sera du voyage qui nous amènera au bord de la mer Noire, en Bulgarie. Ce lundi matin donc, nous nous apprêtons à partir, Eva et moi. Le trajet ne fait que 250km, mais sans l’autoroute, à cette époque. Aussi, le départ a lieu vers 10h du matin, pour nous permettre de prendre notre temps. Nous sommes salués par ses parents et sa sœur, qui doivent encore travailler jusqu’à vendredi, de 14h à 22h cette fois. Pour la route, Eva a mis une robe sans manches, boutonnée devant, de couleur vert clair…et tout aussi mini, dévoilant largement ses jolies jambes. La petite valise d’Eva ainsi que mon sac, une fois déposés dans le coffre de la voiture, nous démarrons. « Ma mère nous a préparé quelque chose pour le déjeuner. Je lui ai bien dit qu’elle n’était pas obligée de le faire, mais elle m’a répondu que ça lui faisait plaisir ! Tu commences à connaître ma mère, n’est- ce pas ? » Dit- elle avec un sourire, en déposant un sac sur la banquette arrière. « Remarques qu’il fait un temps magnifique et qu’il va certainement faire encore chaud ! Déjeuner sur l’herbe, dans la nature, sera donc très agréable, non ? » Répondis-je. Le plein du réservoir ayant été fait la veille (précaution utile à cette époque), le voyage s’annonce serein. De fait, ...
... alors que nous avions accompli une bonne moitié du trajet, et que midi et quart approchait, il fut décidé de nous arrêter pour déjeuner. L’occasion se présenta à la sortie d’un village : « Tiens ! Ici par exemple ! Tu vois ce chemin qui mène au petit bois, là-bas ? On y va ? » Eva hésite, avant de se raviser : « Ca semble bien…Allons-y donc!… » Le chemin est en terre mais en bon état, et au bout de cent mètres, une petite clairière apparait, pourvue d’une herbe épaisse. Je gare la voiture juste à l’entrée de celle-ci, derrière une sorte de haie, la rendant ainsi invisible de la route. Le temps est très beau et il commence à faire chaud. Eva prend le sac qui se trouve sur la banquette arrière. En bordure de la clairière, un espace ombragé s’offre à nous. Elle sort du sac une sorte de vieux drap, qu’elle étend sur l’herbe et nous nous asseyons dessus. « Je suppose que tu as soif, mon chéri ? » dit-elle avec son accent charmant. Elle sort deux grands gobelets, et, ouvrant une grande thermo, elle les remplit de thé encore tiède (ici, pas question de boire une goutte d’alcool quand on conduit). Nous buvons lentement. Eva s’est assise sur le drap, les jambes allongées. De ce fait, la minirobe a tendance à remonter, dévoilant la quasi-totalité de ses jambes nues, et laissant même apparaitre la culotte… « Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? » me lance Eva, visiblement amusée d’avoir repéré mon manège… et donc mes regards fréquents sur ses jambes. « Tu as de si jolies jambes ! Comment ne ...