De Hervé à Vanessa, chienne soumise (33)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Transexuels
... grande sœur, je la prends dans mes bras. Après cette étreinte, je file plage arrière. — ADELIA, AVEC MOI... Ordre qui ne supporte aucune contestation, elle se lève et me rejoint en passerelle. — Peut-on joindre Émile, c’est urgent. — Oui, oui. Mais qu’est-ce qui se passe ? — Tu vas vite comprendre. Axiana, voulez-vous bien attendre dehors, s’il vous plait.. Adélia me tend un combiné de téléphone satellite. Une sonnerie plus tard, j’ai Émile qui me répond tout affolé... — Vous avez un problème, un incendie, le bateau coule ??? — Non, non, Papoune tout va bien. C’est Gladys... Je raconte, devant les yeux médusés d’Adélia, la triste vie de notre Glagla. Émile est sans voix. Maria, qui devait se trouver dans le coin, où sous le coin, arrache le combiné des mains d’Emile et me crie presque : — Vanessa, occupes-toi bien d’elle, je m’arrange de ses soi-disant parents... Tu m’as bien compris Vanessa, je t’en confis la garde. Protège là, si elle a dit qu’elle voulait se suicider... Oh, putain, j’en mourrai... bocbvu Émile reprend le combiné. Il me dit de faire attention, qu’il sera à Marseille avec Maria, de ne pas trop en dire à Gladys et de prévenir tout le monde à bord pour éviter l’irréparable, surtout avant notre arrivée à Marseille. Je lui promets de lui ramener Gladys en pleine forme. Sur ce il me répond. — Je sais, Vaness, je sais... J’ai confiance. Tu es ma fille... Je t’aime Vanessa... TUTTUTTUTT. Je regarde Adélia qui est au bord des larmes. — Ah, non... Tu parles d’une ...
... croisière... Je descends plage arrière. Sur un ton directif, paternel ou maternel que je ne me connaissais pas, j’explique la situation. Les filles, choquées, effarées, outrées, me disent que j’ai bien fait d’appeler Émile et me posent moult questions sur la réaction de notre papy grec. Je leur dis que c’est à Maria qu’ils vont avoir affaire. Elles pouffent de rire. Je descends l’échappée qui mène au pont de l’équipage pour aller chercher ma petite protégée. Je m’approche de la cabine, la porte n’est pas fermée. J’y glisse un œil et c’est pour voir les trois petites matelotes en train de réconforter Glagla... Elle est allongée sur la table et les trois gougnottes s’affairent sur le corps dénudé et offert de Gladys. Deux des trois sœurs ont ouvert son compas au maximum, la troisième lui mangeant l’abricot. Charmante petite scène pornographique. Les deux premières lui lèchent les cuisses, les mollets et les pieds tout en lui travaillant les seins, bref, tout y passe. Au son que Gladys émet, elle ne peut qu’apprécier. Je les laisse et monte faire mon rapport à mes filles. Quand je les retrouve, Adélia n’est plus là, elle est remontée en passerelle. Je m’installe sur un transat et Malika vient s’installer à califourchon sur mes cuisses. Elle entreprend un massage, enfin me triture ma poitrine, joue avec mes anneaux. Qu’est-ce qu’elle est belle ma petite future femme. Mes mais s’égarent sur ses hanches. Théna nous regarde avec envie et me dit : — Vous êtes beaux... Je ne me lasse ...