Le Donjon (1)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Divers,
... et bave sur tes seins étirés, tes tétons rougis, allongés, pincés, mordus par des fers. Faire jouir une femme par les nichons c’est un plaisir. Lui faire mal aux tétons à coups de cravache me durcit le gland. Aujourd’hui, je me sens capable de faire gicler ta douleur, d’arroser de mon foutre tes jouissances du cul et du con. Ma lecture t’a excitée et a dilatée tes trous. Le fond de ton vagin veut sortir de ta chatte béante. J’y vois des pulsations obscènes alors que ton trou à merde palpite. L’impatience de l’esclave. Je savais ce que je faisais en te racontant mes rêves, en te lisant mon texte. - Il est bon mon texte Anna ? Dis moi qu’il est bon ! - Oui Jieff ! J’adore vos rêves de moi… Ils sont deux à pénétrer dans la pièce, un fichu couple. La femme ? Une imposante dondon, une obèse aux formes débordantes. A notre première rencontre, au café, comme je lui demandais son nom, elle m’avait dit : - On m’appelle la grosse, ça me suffit. J’aime ! Me désignant l’homme qui l’accompagnait, elle avait complété : - Lui, le balèze, c’est mon frère Bruno. On le nomme, Connard, Ducon ou la brute. Appelle-le comme tu veux, il s’en fout. Il y a quelques années il s’est pris un sale coup à la tempe. Les médecins qui l’ont suivi dans son coma disaient qu’il resterait coincé à un âge mental incertain, il est majeur mais plutôt demeuré. Du moment qu’il a à baiser, tout se passe bien. Il ne pense qu’à sa bite et à ce qui passe à portée. Il la tripote sans cesse. Il adore la violence, les ...
... baffes, le fouet, les femmes jeunes ou vieilles, les hommes, les chiens, les chèvres… Son trou du cul s’ouvre à tout et à tous. Un petit pois dans le crane, un braquemart et des testicules de percheron. Il a des érections à la chaîne à la moindre odeur de sexe, de pisse. Mais, c’est quand même avec moi qu’il prend vraiment son pieds. Normal, je suis plus âgée, je connais ses goûts, il a apprit les miens. On s’aime beaucoup. Très jeunes, comme tous les mômes, dans le dos des parents, au grenier on jouait à papa - maman, au docteur dans la salle de bain et à touche pipi derrière les armoires. Bien vite on est passé à des jeux plus corsés. Avant même qu’il ne lui pousse des poils, sa bite m’avait impressionnée. De mon coté, de bonne heure, j’ai eut de très gros nichons, un gros cul, de grosses faims aussi. Je le provoquais sans cesse, n’importe où, sortant mes tétons gonflés, lui montrant mon con, mes fesses, mes poils du cul. Il adorait ces poils denses qu’il n’avait pas encore. Je lui disais en écartant mes fesses à deux mains et en poussant fort pour m’ouvrir le trou du cul: - Tu vois ce trou, c’est par là que je chie. Un jour, bientôt, tu y glisseras ta bite, tu l’entreras toute entière, tu t’y branleras et tu me feras jouir par là. Il ne me croyait pas ! Je précisais : - Cela se dit enculer. Il m’a dit bêtement : - Ah ? Je lui apprenais ce qui m’excitait. A la demande il me sortait sa queue et ses couilles, tripotait tout ça pour moi, sous mes yeux, de près ou de loin. Je lui ...