1. Le Donjon (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers,

    ... avec leurs lignes, les balles blanches, me ramènent toujours à ces petits jeux de nos dix huit ans. Plus tard, devenus orphelins, on a eut des siècles pour s’enculer. Je suis sa seule famille et m’en occupe à plein temps! Même les bonnes sœurs le refusaient. Elles ne savaient pas ce qu’elles perdaient, ces connes ! Depuis, j’adore me déguiser en nonne, à poil sous ma robe noire, bien sur. Elles m’ont servit sur un plateau un encouragement au vice. Pas question de laisser ce fou seul une seconde. Il me faut tout faire. C’est dur mais il me le rend bien ! On a tout apprit ensemble et, depuis très longtemps, lui et moi on aime le sexe " Trop beaucoup sale. Zizi, zézette, pipi-caca !" Comme il dit. Je connaissais de vue ce type au nez cassé, aux oreilles en feuilles de chou. Cette armoire à glaces, je l’avais imaginé boxeur ou rugbyman. Sans doute les deux. Son petit pois de cerveau n’était certainement pas extra fin. Un butor pour concours de foire. Lors de nos premières rencontres elle s’était confiée à moi. Elle avait rapidement deviné que j’étais friand de porno au moins autant qu’elle et dans les mêmes perversions : Crade, très crade ! A une table au fond du café, devenu notre quartier général, elle me raconta bientôt leur histoire d’inceste, les détails de toutes leurs saloperies intimes. Ces trucs qu’elle me racontait! Elle en bavait, elle me disait : - Jieff, tu me plais ! Tout ça te fait bander, pas vrai ? Mes mamelles gonflent à exploser et ma chatte se noie. Regarde ...
    ... mon décolleté comme elles veulent sortir! Allons aux chiottes, on va se branler. Cette idée, bien sûr, nous excitait. D’autant qu’elle me disait tout ça de sa voix de gorge, en serrant ses bras croisés sous des seins impressionnants qu’elle faisait gonfler à plaisir. Ma glotte faisait des bonds. Mais dans un café de village, s’enfermer à deux dans les toilettes, c’était courir au devant de lourdes emmerdes. Bien que cette table soit à l’écart de leurs oreilles, nous restions sous le regard des habitants. Et puis, comment échapper à ce lourdingue de frangin ? Pour l’heure il sirotait au comptoir. Le patron avait ordre de ne le servir qu’en limonade ou jus de fruits. Lui faire boire de l’alcool ? Une douloureuse et coûteuse expérience l’en avait dissuadé. On avait du appeler les cognes, à quatre il leur avait fallu une bonne heure pour le maîtriser. J’ai été obligée de m’y mettre, lui chuchotant des promesses dans l’oreille, je lui ai décrit ce que je ferais pour lui le soir s’il se calmait. Je lui ai promis qu’il serait le maître, que je ferai tout ce qu’il voudrait, même le plus crade. Penchée vers moi, sa voix n’étant plus qu’un murmure, elle poursuivit : - Certains soir, quand je suis excitée, c’est à dire souvent, je le rejoins dans son grand lit. Je m’allonge à son coté, il grogne. Tournant mon gros cul vers lui, dans mon dos, je cherche sa bite - facile tellement elle est grosse - et l’attrape des deux mains. Je la frotte lentement contre mes fesses, une main autour de son ...
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