1. Le Donjon (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers,

    ... étalon au licol. Il m’envoie toujours une bonne série de longs jets de fromage blanc. Alors je m’écrase contre sa bite qu’avec mes nichons je coince repliée entre ses fesses, Je me colle à son cul, à son dos ; et que je me frotte, et que je me masse, et que je me barbouille de sperme et de pisse. Parfois, les nichons excités, bandés par ses poils et ses couilles, je jouis des mamelles, j’ai les tétons avides, très gourmands. dwldmx Ces matinées de chiens en rut, nous jouissons encore et encore jusqu’à épuisement. Les draps sont bons à essorer. Parfois on les garde dans un coin pour les réutiliser le soir ou le lendemain. De sacrés odeurs excitantes..! Ces jours là, plus besoin de viagra ni de café…. brrrrr… Il m’a dit qu’aux toilettes, souvent, alors qu’il n’y va que pour pisser, il se met d’un coup à trembler et à bander dur en pensant à ces nuits, à ces draps, à cette sangle, alors il se rentre un pouce dans le trou du cul, se branle longuement et gicle du sperme partout. Il me dit qu’ensuite il est trop secoué pour nettoyer. Parfois il en a honte et baisse la tête, s’excuse comme un môme. - Pas grave connard ! Quand je fais le ménage, j’adore ce foutre sur les murs des chiottes, j’aime le goût de ton sperme. J’adore tout ce qui sort de toi, de ta viande, de ton cul et de ta bite, de tes muscles. Je suis ta sœur, je fais le ménage, pas vrai ? Alors j’ai bien le droit de lécher ce qui me plait, Non ? Je dois avouer que je rêverai d’avoir son machin vissé dans mon boyau toute ...
    ... la journée, tous les jours. Nous serions siamois par mon cul et par sa viande. Je passe et repasse sans cesse dans ma tête tous les fantasmes d’enculade qui me viennent. Le sentir bander et débander sans arrêt dans mon ventre, l’avoir comme pompe personnelle noyée dans mon cul. Sentir son machin éjaculer et pisser sans trêve au fond de moi…Encore et encore. mmmmmm Rien que d’y penser j’en tremble. Je ne me lasserai jamais, ni de mon connard de frangin, ni de son gourdin à vices. Tu vois le genre d’histoire qu’elle se délectait à me raconter en détail. Tu comprends le style du couple. Je n’eut aucun mal à la convaincre de venir au donjon profiter de toi. Je lui ai dit que son frère et elle seraient libres de t’utiliser comme bon leur sembleraient, qu’ils pourraient se vider de tout sur toi, en toi. Que, comme sac à jouir, tu serais sans limite, que ma cravache y veillerait. La grosse s’était emballée : - Jieff ! Tu me fais mouiller. J’ai souvent rêvé de faire mal à une femme, la traiter en objet, en esclave, la torturer. Surtout si elle est mince, jolie et que je la sais vicieuse. Ce doit être la jalousie d’une grosse ! La voir à la fois souffrir et jouir de partout. Et aussi, voir de près une autre femme faire ce que je fais au frangin… Rentrer un chapelet de balles blanches dans son cul, la faire pousser et la regarder les lécher. Tu crois qu’elle fera ça pour moi ? - Avec la cravache, elle fera tout ce qu’on veut ! - On pourra lui enfiler plus gros. Les balles de ping-pong ...