Mia, sauvageonne urbaine
Datte: 04/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Zombie sexy, cette Mia, drôlement sexy. Ce que cette fille aimait, c'était le style gothique. Elle se vêtait toujours de noir, même pour aller travailler. Son job, elle était secrétaire chez un assureur. Sans contact avec la clientèle, enfin sans contact direct. Les clients, elle leur téléphonait, leur envoyait des mails ou des courriers. Même des SMS… Mais elle ne les voyait pas et eux non plus n'avaient pas idée de la tête qu'elle avait, jamais. Le style gothique, ça ne se voit pas sur un email, sur un écran. Même au téléphone, on ne sent pas, à l'accent, que la fille est spéciale, toute de noir vêtue avec des mains interminables d'ongles pointus et des yeux charbonneux diaboliques, genre Edward Johnny Deep Tim Burton. Son bureau, le bureau où elle bossait, ne recevait pas la clientèle. Ses collègues la laissaient indifférente. Elle ne s'intéressait pas à ce genre de mecs-là, fades garçons administratifs et filles insignifiantes. Elle ne frayait pas avec ça. Et c'était réciproque, les employés qui la côtoyaient ne manifestaient aucune sympathie aucun intérêt pour cette fille fluette sombre et neurasthénique. Elle, avait dans la tête des idées étranges. Et quand je dis dans la tête, en fait, je devrais plutôt dire, dans sa culotte. Vrai, c'est de sa culotte que lui venaient ces idées là. Tout plein d'idées. Pourtant, sa culotte était blanche... C'était bien la seule chose blanche qu'elle portait. Sa jupe lourde large était noire de noire. Une jupe de tissu épais qui ...
... nappait ses cuisses et tenait au chaud son intimité. Quand elle marchait elle entendait chanter ses bas DimUp, cuisses frottant l'une contre l'autre. Enfin, entendait, disons plutôt ressentait les vibrations crissantes des mailles tendues gonflées en contact, cuisse gauche cuisse droite, alternatives, comme archet l'une de l'autre. Elle était bien avec elle-même, cette fille-là. Et, quand on la voyait marcher, on comprenait cela. Son sourire exprimait très exactement son bonheur de satisfaction personnelle. Qui n'a besoin de personne. Sa tête était un véritable épouvantail. Cheveux longs aile de corbeau lisses droits raides qui tombaient sur ses épaules et encadraient une figure pâle ascétique au nez proéminent. Sorcière presque. Mais néanmoins gracile gracieuse. Une sorcière à qui l'on mettrait bien la main au panier. Enfin en s'assurant que ses dents sont saines avant de l'embrasser dans un coin sombre, genou remonté entre les cuisses, relevant haut le tissu lourd de la jupe. Cette fille-là, c'était ce que l'on appelle une Petite. Une fille fine gracieuse légère... Une fille comme les garçons aiment en prendre dans leurs bras, à aimer, à protéger à câliner à cajoler. Elle, comprenait cela et en jouait en se camouflant derrière ses airs gothiques. Elle voyait bien que les gars chaviraient de son allure moitié médiévale moitié fantastique. C'est ça qu'elle aimait, qu'elle cherchait. Elle voulait vivre cette ambiance David Bowie underground Marc Bolan. Et puis cette image d'elle en ...