1. Je me découvre coquine (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... besoin d’en dire plus. Je m’approche de Max, saisis sa queue et l’embrasse, puis retournant mon visage vers Paul : « Je crois que j’ai bien fait de sauter le pas ». Je m’allonge sur le matelas, les jambes écartées, une main sur ma chatte, l’autre sur mes seins. Je ne me reconnais pas. Tant d’assurance et de provocation obscène ne me ressemblent pas. Mais je suis dans un état second. Une petite lumière s’allume en moi pour me dire de me faire plaisir mais de faire attention à ne pas aller au-delà de cette limite qui me ferait regretter certaines choses demain. « Vos mains et vos bouches seulement, rappelez-vous, si j’en veux plus, je vous le dirai. Ça marche les garçons ? » Max et Paul répondirent un grand oui, presque à l’unisson. Tous deux vinrent s’allonger à côté de moi. Leurs caresses étaient délicieusement douces. Mon cou, ma poitrine, mon ventre, mes flancs, mes jambes, mes bras, ils parcouraient ma peau en l’effleurant du bout de leurs doigts. En cet instant, où ils évitaient, volontairement je pense, de s’approcher de mon sexe, je sentais leurs doigts, indénombrables, glisser sur moi, me donner des frissons, et faire monter mon désir. Je décidais alors de fermer les yeux et de m’abandonner à mes seules sensations physiques. Je les entends bouger, deux mains attrapent mes seins et une bouche les lèche et les embrasse doucement, une autre main attrape ma jambe droite, la relève, l’écarte légèrement, pose mon talon sur son épaule, et glisse sur moi, du mollet à ...
    ... l’aine, sans jamais remonter plus haut. C’est délicieux et frustrant à la fois. Au fur et à mesure que ces mains glissent sur ma jambe, je sens des petits baisers sur mon pied et le bas de ma jambe. Mon autre pied est attrapé, et mis dans la même position. Me voilà, les jambes largement écartées, découvrant sans aucun doute mon sexe humide, les pieds posés sur les épaules de ces messieurs qui me caressent délicieusement en me faisant languir de leurs avancées. N’y tenant plus au bout de ce qui m’a semblé une éternité, je commence à glisser mes doigts sur mes lèvres intimes. Doucement, délicatement. Je glisse un doigt sur mon clitoris et me promène de l’entrée de ma petite chatte à ce dernier. Ils savent vraiment y faire tous les deux, je suis trempée. Ils reposent mes jambes sur le matelas, les talons près des fesses, et toujours aussi écartées. C’est maintenant leurs bouches qui viennent me couvrir de baisers. Doux, parfois superficiels, parfois appuyés. Leurs bouchent imitent leurs mains et délaissent mon intimité brûlante. Lorsque je sens un baiser, tout en haut de ma jambe, presque sur mon sexe, je n’y tiens plus, j’attrape cette tête par les cheveux... « Lèche-moi, je n’en peux plus ». Tel un chat prudent, je sens maintenant de petits coups de langue sur mon intimité. La deuxième bouche continue de me couvrir de baisers. Je tâtonne alors pour trouver le corps derrière cette bouche, puis glisse le long de sa jambe pour empoigner son pieu de plaisir. Je le sens pulser sous mes ...
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