Karl
Datte: 05/09/2017,
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Suite des aventures de Ludivine aux Etats-Unis, voir les récits « Rachel » puis « Monsieur Ching » de la série « Education Américaine » par Christine, auteur de Revebebe. Merci au Bordelais pour son idée de scénario, j’ai cependant pris quelques libertés, il se reconnaîtra. Karl Quelques jours de repos nous ont été nécessaires pour nous remettre définitivement de la folle partie de débauche franco-japonaise. Je dois admettre qu’être ainsi prise par des hommes mûrs et expérimentés, puis par leur progéniture, m’a tout à la fois épuisée et excitée. Nous avons décidé, d’un commun accord, de faire un petit break dans nos prestations de charme et de prendre un peu de bon temps. Après maintes hésitations, j’ai finalement décliné le contrat proposé par Madame Saint-Jean pour passer le week-end avec un couple de New-Yorkais fortunés. Tant pis pour le fric, de toute façon j’ai déjà de quoi subvenir à ma vie d’étudiante ! Nous sommes, Rachel et moi, confortablement étendues dans le salon, blotties dans deux petites nuisettes achetées en soldes dans une boutique de fringues de marque américaine. Je ne me lasse pas de la regarder, avec son corps fin et gracieux, ses cheveux blonds et sa vertigineuse chute de reins. On ne voit pas à quoi d’autre pourrait servir un tel corps, si ce n’est à faire encore et toujours l’amour, tant le seul plaisir des yeux est un nectar inestimable. Elle voit mes yeux fixés sur ses cuisses et me sourit. Capricieuse, elle passe doucement la main sous sa ...
... nuisette et commence à se caresser, sans me quitter des yeux. — Arrête ça, tu es trop bonne à ce jeu-là.— Tu n’as qu’à arrêter de me mater en permanence ! Puisque je te plais, eh bien tu vas me regarder me caresser, comme une grande fille que tu es !— C’est n’importe quoi ! Tu ferais mieux d’aller te chercher un bel étudiant, capitaine de son équipe de sport, pour t’inviter dans les douches.— Ne me tente pas, j’en suis capable. Et elle l’est… Elle a maintenant mis les doigts et écarte en grand ses lèvres intimes, sans vergogne, en continuant à me provoquer ! Cette fille est aussi belle que délurée et provocante. — Tu es une peste, un démon… mais tu es trop belle ! Et je la rejoins, par la parole et le geste, en commençant doucement à caresser mon petit bouton. Voilà comment deux jeunes filles passent leur samedi après-midi à glousser et à se caresser ! Je la rejoins sur le divan, n’y tenant plus. On se met en 69 et je bois avec délice sa liqueur de femme. Elle n’est pas en reste et commence déjà à jouer avec ses doigts. Ah ! ses doigts ! Quel délice, quelle experte ! Je n’y tiens plus et me mords les lèvres pour ne pas crier. J’explose et me relâche. Elle a glissé un doigt dans mon petit anneau serré, pour me punir… c’est délicieux ! On se fait un petit frotte-minou pour l’amener au plaisir et on termine par un grand verre de vodka. Elle est pas belle, la vie ? — Qu’est-ce qu’on fait, ce soir ? Il faut bien dire quelque chose pour rompre cette harmonie oisive ! — J’y réfléchis… Eh ...