Premier jeudi
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Sa voix suave avec un léger accent slave ou allemand me poursuit. Quand elle parle elle me caresse, des frissons parcourent mon échine. Lorsqu’elle prononce mon prénom, elle y ajoute un souffle qui me laisse pantois. Ses yeux verts, rieurs, "pissent l’amour", dirait-on trivialement entre amis. La pupille dilatée me transperce à chaque regard. Cela fait trois semaine que Martha a emménagé dans la villa contiguë avec son mari Loïc et ses deux enfants de 9 et 12 ans. Elle, petite, très jolie, courte sur jambes, le fessier agréablement arrondi qu’elle fait onduler en marchant, lui, grand, sec, immédiatement sympathique, le visage bonasse, il se déplace à grandes enjambées. J’ai très rapidement été invité à prendre l’apéritif avec mes nouveaux voisins et "le courant" est passé instantanément. — Jeudi, les enfants sont chez ma belle-mère, me dit Martha, viens manger avec nous. Je reste un instant pantois, elle ne me connaît pas, m’invite comme un ami et me tutoie immédiatement — Euh, oui volontiers, si ça ne dérange pas trop… Pendant la semaine, regardant par la fenêtre du premier étage, celle qui surplombe la maison des voisins, je vois subrepticement Martha dans le plus simple appareil passant de la salle de bain à la chambre à coucher.Voilà qui est intéressant, me dis-je. Ma verge répond au quart de tour, une petite séance de masturbation, à l’affût derrière le rideau de la fenêtre s’impose. Un quart d’heure après, l’affaire réglée, mon observation n’a pas donné de résultats ...
... plus probants que cette image fugace de femelle dénudée. Cette expérience m’a tout de même amené à observer plus souvent la maison voisine caché derrière mon rideau. Deux jours plus tard, vers 22 heures, Martha se présente à la fenêtre de mon côté, observe ma maison, ferme les voilages et dos à la fenêtre entreprend un déshabillage sensuel, le pantalon descend lentement en faisant vibrer les hanches, le T-shirt passe élégamment par dessus tête, le slip glisse le long des cuisses comme par enchantement. D’un coup de pied il vole à côté d’elle en direction de la fenêtre, tache blanche au sol, arrogante, preuve flagrante de la nudité de sa propriétaire. Martha ondule au rythme d’une musique lancinante dont je devine indirectement l’érotisme. Comme par enchantement mon pantalon, mon boxer sont tombés à mes pieds, mon engin turgescent pointe vers ces fesses prometteuses. Mes mains comédiennes jouent le rôle du vagin caché dans la fente sombre entre les jambes de ma danseuse. Sait-elle que je l’observe, son intuition l’a-t-elle avertie ? Elle continue de plus belle, cul vibrant, l’attache du soutien-gorge se penchant d’un côté, de l’autre, comme une barque sur la vague. J’explose au moment où ses mains vont décrocher le dernier rempart à sa nudité totale, mon sperme projeté sur le sol en direction de son fessier arrogant et en partie sur mon pantalon qu’il faudra, bien sûr, nettoyer, pourquoi ne me suis-je pas mis dans la même tenue qu’elle ? Martha continue de danser, tourne autour ...