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Ma première au café (1)
Datte: 08/09/2019, Catégories: Lesbienne
Comme tous les vendredi soir après le boulot, Annie, Julie et moi Marie terminons la semaine devant une volumineuse coupe glacée à la chantilly au café de l’Orient à deux pas du bureau. Nous refaisons le monde de la semaine avec chacune sa sensibilité et tous les sujets sont abordés sans tabou et retenue. Pendant notre conversation, je remarque qu’une cliente de type asiatique assise au bar me regarde avec insistance et me gratifie de te temps en temps de quelques sourires. Elle m’a l’air d’une belle femme, BCBG en tailleur bleu marine, jupe assez courte, jambes gainées de nylon noir. Je n’y fais pas trop attention mais ce regard permanent m’intrigue. Nous sommes en pleine discussion sur l’actualité très polémique du harcellent sexuel quand mon téléphone se met à sonner. « C’est maman, excusez-moi un instant mais elle est tellement bavarde… » L’orage commençant à gronder au dehors, je me retire dans l’espace toilettes pour prendre l’appel. Au bout de quelques instants, la porte de l’espace s’ouvre et je reconnais la cliente du bar. Elle me sourit en m’adressant un timide bonjour et se dirige vers le lavabo pour se rafraichir. Ma conversation terminée, je m’apprête à rejoindre mes collègues quand la dame me fait barrage et me bloque contre la porte. Elle me regarde fixement ; m’attrape les cheveux et plaque sa bouche contre la mienne. Sa langue se heurte à mes dents que je desserre et je ne sais pourquoi, je participe volontiers à ce baiser fougueux. J’en suis même excitée. ...
... Nos langues s’entrelacent et je sens une main s’introduire dans mon corsage et me caresser un sein pendant que l’autre main remonte ma jupe et cherche sous mon string. Je ne dis rien, j’ai les yeux fermés, je trouve du plaisir à ce petit jeu. Lorsque la main dans mon string atteint mon clito, je ne peux retenir un puissant jet de cyprine qui inonde les doigts de cette main baladeuse. Je saisis la main et porte les doigts à ma bouche pour goûter mon jus comme je le fais quand je me masturbe. Je deviens complice. Soudain quelqu’un frappe à la porte que nous bloquons et tout s’arrête. Je remets de l’ordre dans mes cheveux et mes habits et rejoints mes collègues. « Tu m’as l’air toute bizarre Marie. Quelque chose ne va pas » ? me lance Annie « Non. Mais tu sais, ma mère est un peu chiante. Alors où en êtes-vous avec le harcèlement ?» « Oh nous ne sommes pas d’accord, je dis que cela a toujours existé et que seul me parait répréhensible la violence et la contrainte. Je dis même que certaines femmes se battraient pour être la première se faire baiser par leur patron ou faire partie du harem. » « Bon les filles, il faut que je vous quitte car j’ai des courses à faire. Je vais régler les consos, c’est à mon tour » Sur ce, je me présente à la caisse du comptoir. Ma partenaire forcée et éphémère est revenue à sa place tout près de la caisse et me glisse subrepticement un petit papier. Un rapide coup d’œil m’indique qu’y est écrit un prénom, Elodie, et un numéro de téléphone. Je range ma ...