1. Le gîte naturiste. 3 ème chapitre. Elle se se fait enculer pendant que son ami est à la pêche.


    Datte: 05/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Elle s’agite comme une folle sentant monter son plaisir, et dans un long cri de jouissance, retombe désarticulée comme une poupée de chiffon, son coquillage avalant mon chibre le plus loin possible. -Putain, je n’ai jamais jouis à ce point ! M’avoue-t-elle. Je lui rétorque en me relevant, toujours fiché en elle : -Je n’en ais pas encore fini avec toi. - Tu vas me tuer ! - Ca serait une belle mort, non ? C’est à moi d’œuvrer et je m’y donne corps et âme, il était temps qu’elle s’éjecte de mon engin sinon moi aussi j’allais rendre les armes. Elle couine de plaisir. Tout y passe, un cunnilingus de feu, des caresses et des léchages à n’en plus finir des zones les plus érogènes de son corps, elle demande grâce mais pas un centimètre carré de son corps n’échappe à ma langue. Pendant ce temps, la pression s’estompe un peu au niveau de mon bas-ventre. Je lui lance : -A toi maintenant ! Et je glisse ma queue entre ses seins, me branlant doucement. Pas besoin de lui faire un dessin, elle emprisonne ma teub entre ses mamelles ... Je donne de légers coups de reins amenant mon gland au niveau de ses lèvres et à chaque passage, elle en profite pour lui donner un coup de langue pour le lécher ou le sucer. Je sens alors ma sève monter, une colonne de feu part de mes bourses vers le gland, mes couilles se vident dans l’urètre, même si je le voulais, je ne peux plus stopper le stress éjaculatoire, trois long jets de foutre s’écrasent sur ses seins, son menton, dans sa bouche, et maculent son ...
    ... visage. Je lui présente alors mon organe devant la bouche et laisse faire sa langue si douce goûter mon gland et tourner autour en une sarabande infernale. Elle lèche sur toute la longueur mon rostre avant de le reprendre en bouche le plus loin possible. Son désir charnel n’est pas assouvi, sa main vient en renfort me branlant à toute vitesse, je suis aspiré, pompé, branlé et son autre main joue maintenant avec mes couilles. Je n’ai pas eu le temps de débander qu’elle m’a déjà remit en « service ». Elle suce goulûment. Je reste quelques instants alors qu'elle continue à me lécher et me sucer. Puis je me retire : - Tu as apprécié, tu en veux encore ? Elle se contente d'ouvrir grand la bouche en me souriant Je l'embrasse. Le goût de mon sperme est encore sur ses lèvres. Je la regarde : - Je t'aime, Anne. - Moi aussi, Patrick. Je retire ma verge encore dure. Elle se cambre en avant, ne voulant pas le libérer. J'écarte les lèvres de sa chatte d'une main et y glisse mon sexe qui a retrouvé toute sa vigueur. Elle gémit, laisse aller son corps sur la banquette. Ses hanches bougent pour accompagner mes pénétrations. L’étreinte dure longtemps, l’étalon s’est transformé en robuste cheval Comtois qui laboure de son soc le sillon offert pendant de longues minutes. Je la sens partir plusieurs fois avant de ressentir ma queue redevenir à nouveau cette colonne de feu. Je dois encore jouir…Je peux encore jouir… Je veux encore jouir … De mes couilles douloureuses, des jets de foutre remontent ...