1. Eva termine son initiation


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Première fois

    ... coup d'oeil à Katherine : elle approuvait ce que je lui faisais d'un petit hochement de tête. Je continuais de le sucer avec passion et vigueur, et je sentais que je tenais le bon bout (si j'ose dire), car Jean était de plus en plus sonné par le plaisir, et je prenais de plus en plus le contrôle. Je finis par cesser ma fellation. Je ne voulais pas que Jean jouisse tout de suite. Il était étendu sur le lit, les yeux fermés, complètement assommé par le plaisir. J'étais ravie et étonnée de voir ce que j'étais capable de faire à un mec quand je me libérais. Et ce n'était qu'un début. Si Jean semblait sonné, son engin lui était toujours fièrement dressé. Je m'empalais dessus d'un coup sec. Je poussai un petit gémissement, et dit : « Tu vas voir de quel bois je me chauffe ! » Je démarrai alors de puissants va-et-vient, baisant Jean avec toute la dextérité dont j'étais capable. J'allais d'avant en arrière de plus en plus vite, secouant mes hanches comme jamais. J'observai Jean, et m'émerveillai de le voir se tordre de plaisir, de l'entendre gémir et de le sentir décoller sous mes assauts. C'était vraiment quelque chose de grisant de voir un homme succomber de la sorte sous votre talent. Je n'avais pas vraiment de technique, mais plus jeune, j'avais fait de l'équitation, et ça m'aidait vraiment. Je chevauchais Jean comme on chevauche un cheval. Je le baisais avec force et application, variant le rythme afin de toujours le surprendre. J'allais au début aussi vite que possible en ...
    ... accélérant progressivement. Jean se mettait alors à crier très fort, et je gémissais moi aussi. Puis je ralentissais le rythme, goûtant cette belle bite que j'avais en moi. Je le baisais alors en ondulant du bassin, nous frissonnions de plaisir, mais ce n'était pas l'extase brute que l'on ressentait lorsque j'allais à fond. Je prenais bien le temps de toiser Jean d'un regard supérieur. C'est pendant ces moments là qu'il se révoltait. Il se redressa une ou deux fois, avec la ferme intention de reprendre le dessus. Suivant les conseils de Katherine, je restais attentive pour anticiper ces moments là, et l'empêcher de reprendre le contrôle. Quand il se redressait, je le plaquais contre le matelas d'un coup, je le lui tenais les mains, et une fois, je le saisis même par les cheveux. A chaque fois, je reprennais aussitôt mes va-et-vient sur un rythme élevé, histoire de l'assommer de plaisir, et d'éviter la pure épreuve de force : il avait beau ne pas être un rugbyman, il était toujours plus fort que moi. Au bout d'un moment, je venais pour la quatrième fois de refouler Jean alors qu'il cherchait à prendre le dessus, et repris mes coups de reins sauvages et rapides. Je le défiai du regard en le fixant dans les yeux, tout en le baisant avec passion, et alors que je voyais son regard chavirer sous le plaisir, je sentis s'insinuer en moi un sentiment délicieux : un sentiment de victoire. Il était sous moi, entrain de gémir de plaisir, c'est moi qui le baisais, moi qui décidais du rythme, ...
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