1. Une nuit à l'hôtel (4)


    Datte: 09/09/2019, Catégories: Erotique,

    Nous sommes allongés sur le côté et nos deux visages se font face. Nous nous sourions. L’atmosphère est joyeuse. « J’ai vraiment bien aimé vous prendre par tous les trous. » « Comment ça par tous les trous ? Non, tu ne pas baisée par tous les trous ! » Quel sourire ravageur. Elle m’allume encore. « Ben si ! » « Ben non ! Et ma bouche alors ? Elle n’a pas le droit de l’être ? » La pute ! Si c’est ce qu’elle veut ! Tranquillement, je la regarde. Je la remonte légèrement vers la tête de lit, lui colle un oreiller. Tout cela délicatement. Mais n’allez pas croire que le reste va continuer à l’être chère Madame. Je l’enjambe et m’agenouille à califourchon à hauteur de ses seins. Je plonge alors mon sexe dans sa bouche. Elle ferme ses lèvres et s’empare de la base de mon membre pour le serrer fort. Mes deux mains appuyées contre le mur, je me mets alors à aller et venir. Je regarde vers le bas pour voir ma queue entrer et sortir. Il ne me faut pas longtemps pour libérer ma semence dans sa bouche gourmande. Elle est imperturbable et continue à me sucer, jouant avec sa langue, se délectant de mon foutre. Elle le recrache sur mon gland pour l’aspirer à nouveau. Des filets de sperme tapissent ses lèvres. Elle les aspire. Elle finit par tout avaler. Ma queue brille. Elle a rarement été aussi bien nettoyée. Cette fois-ci, j’ai vraiment besoin de dormir. Que le réveil fut pénible. Cette sonnerie qui se met à tinter à 6h30 du matin. Je voudrais dormir encore. Le peu de sommeil et la ...
    ... débauche de sexe de la nuit. Je n’ai plus 20 ans… Je suis si bien dans le lit, allongé sur le côté en chien de fusil, enlaçant ma partenaire. Elle ne semble pas plus heureuse que moi de devoir émerger. Alors je me colle tout contre elle, la serre fort, pose mes lèvres sur ses épaules, dans son cou. J’aime le goût de sa peau. La Belle dégage une chaleur si agréable. Je l’étreins plus fort. Une sensation de plénitude m’envahit. Si seulement je pouvais rester ainsi. « 6h30 ! Il est trop tôt pour se lever. Je veux dormir encore ! » « Moi non plus je n’ai pas envie, mais on n’a pas le choix. » me répond-elle. « On devrait toujours l‘avoir. Je suis tellement bien là. Avec une belle petite poupée dans mes bras. Que demander de plus ? » Tout en parlant, je lui fais des petits bisous tendres et chauds, la mordille, la caresse. Je glisse ma main gauche le long de sa cuisse, remonte sur sa fesse pendant que de l’autre je joue avec ses seins. Je passe de l’un à l’autre, frôlant ses tétons, les malaxant, les faisant rouler entre mon pouce et mon index. Son corps ondule tout contre le mien. Elle me colle encore plus. J’ai toujours envie d’elle. Mon sexe durcir lentement. Il est tellement bien contre son postérieur généreux. Je relève ma tête pour placer ma bouche tout contre son oreille. Et tout en continuant mon câlin, je murmure : « Comment faites-vous pour me donner tant d’envies. Vous es si belle, si sexy. J’aime la douceur de votre peau. Votre corps me rend dingue. Je ne me rappelle pas ...
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