Anonymix
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
telnet,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
nopéné,
jeu,
humour,
amourcach,
... humide.Merde, qu’est-ce que je suis en train de faire. Je remets le tout dans l’enveloppe, monte sur le bidet et soulève une dalle du faux plafond pour y cacher mon butin. Tiens ? Une idée. Pour rire. Je sors des toilettes, crochète par mon bureau, puis direction l’ascenseur (trop de sport). Dehors, j’attrape une cigarette, approche mon briquet pour l’allumer… Cette odeur… Mes doigts ont conservé cet arôme charnel. Je me mets à les humer. Je range ma cigarette. J’arrive à la brasserie, troublé. Pendant le repas, Gaëlle me raconte son aventure matinale en omettant le dernier acte. Son odeur est encore présente dans mon esprit, malgré le graillon ambiant, mélange de frites, poissons et grillades. J’y vais de mes petits commentaires taquins, lui rappelant le but non dévoilé mais néanmoins fortement envisageable de son mystérieux interlocuteur… Elle rougit. Je remarque qu’elle a boutonné son chemisier plus haut, sans doute par peur qu’on ne distingue la liberté de son buste. Par moment, je crois apercevoir l’ombre foncée d’un mamelon, mais est-ce vraiment cela ? Difficile à dire. J’ai du mal à faire la part des choses entre ce que je souhaiterais voir et ce que je vois vraiment. En fait, je suis sous son emprise. En attendant, elle mange avec appétit (non, ce n’est pas mon nom). — Y’a un type là-bas qui mate mes jambes depuis tout à l’heure, me fait-elle.— Et alors, t’as de très jolies jambes ! Je trouve ça normal qu’il préfère regarder les tiennes plutôt que les miennes.— J’ai ...
... déjà vu sa tête, j’crois qu’y bosse au premier chez nous.— Et tu penses que c’est lui ?— Ben, je ne sais pas… Mais il n’est pas beau en tout cas.— Ah ça, c’est l’avantage de l’anonymat… On n’a pas besoin d’être mannequin.— Arrête, si c’est lui, je suis dégoûtée. Le visage de Gaëlle passe du rayonnant au dégoût. Je n’ai pas prévu ces conséquences. Dans mon esprit, il était clair que son prétendant était beau puisqu’il s’agissait de moi. (Il faut bien que quelqu’un le dise… que je suis beau.) — Écoute, lorsqu’on rentre, tu lui demandes où il a mangé et tu verras, proposai-je.— Oui, il faut que j’en sache un peu plus. Le retour au bureau me réserve une surprise : la montée des escaliers. Très instructif. Je me laisse couler gentiment derrière elle, du coup ma ligne de mire se fixe sur le haut de ses cuisses. Sa jupe, bercée par le rythme des marches, semble hésiter à me laisser entrevoir ce qu’elle est censée protéger. L’idée est bien plus émoustillante que la vision elle-même. J’essaye inlassablement d’apercevoir le point d’intersection de ses cuisses, nappé de deux adorables petites brioches fessières.Ouiiiii, jackpot ! Ah, le bonheur est si peu de choses. Dans l’entrée, elle vérifie du regard que son courrier n’est plus là. Nous arrivons. Elle se reconnecte et interroge Anonymix. Il ne répond pas. Elle bougonne. Je laisse mes collègues arriver, puis lorsque j’estime qu’il y a assez de monde, je clique pour reprendre ma conversation avec Gawelle21. Celle-ci est moins avenante ...