1. Une jeune asiat gangbanguée à la maison


    Datte: 09/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Plusieurs fois Serge eut l’occasion de vérifier que la situation vécut m’avait terriblement excité, car il avait maintenant tendance à mettre en fantasme dans nos ébats, la situation vécue. Et au contraire des mots, le corps ne ment pas. Il savait désormais que j’étais presque consentante, et je ne tardais pas à m’apercevoir qu’il avait utilisé la carte de visite de cet homme. Celle-ci était posé bien en évidence sur la table basse du salon un soir que nous regardions un film à la télévision. Je ne m’explique pas pourquoi je ne lui en parlais pas. Cette carte resta plusieurs jours au même endroit, de sorte que lui comme moi savions que le mensonge ne servait plus à rien. Je me préparais mentalement à subir les assauts de cet homme devant mon compagnon. Je ne savais pas ce qu’ils avaient manigancé, mais dans ses yeux, j’avais bien vu que cet homme voulait me sauter, cela ne faisait aucun doute. Je sus que pour moi le compte à rebours avait commencé lorsque je découvris un paquet, un matin, posé sur la table du salon. Nous étions un lundi, Serge était parti au travail, j’avais posé un jour de repos à mon travail. Je travaille dans une banque, mais ce n’est pas le sujet. Pas aujourd’hui en tout cas. Ne me doutant de rien, je me préparais un café et ensuite j’ouvris le paquet. A l’intérieur, je trouvais une paire de menottes, un bandeau, un gode et de très beaux dessous noirs. Soutien-gorge, string, et jarretelles dans une très belle dentelle. Visiblement ils étaient à ma taille. ...
    ... 85D, 60, 92. Oui je sais petite poitrine, mais très joli cul, chers lecteurs. Vous étiez prévenu au premier récit. Au fond, un mot : prépare-toi pour ce soir 22h, assied toi sur une chaise, met le bandeau et les menottes à tes deux poignets, dans ton dos. Tiens-le gode à disposition. Ne ferme pas la porte à clef, je ne serai pas là avant 22h30… j’avalais de travers mon café, je relus le mot. Il était clair sur ce mot que je devais m’assoir sur une chaise, menotté, n’y voyant rien, et n’étant vêtue que de dessous qui signifiaient : « ok, faites de moi ce que vous voulez ». Qui plus est la porte de la maison ouverte. Chose plus inquiétante, Serge avait noté qu’il ne rentrerait qu’à 22h30... Plutôt inquiète, j’essayais d’appeler Serge sur son portable mais cet enculé était sur messagerie... Je tournais en rond dans la maison une partie de la matinée, puis m’asseyant, je devais bien reconnaitre que le message passé à Serge ces derniers jours était équivoque. J’avais eu mille fois l’occasion d’évoquer avec lui la carte de visite posé depuis une semaine sur la table basse. Je ne l’avais pas fait, je me faisais tout doucement une raison, j’allais passer un sale quart d’heure ce soir… J’allais me faire baiser par cet homme rencontré en club. Point barre. J’eus cette future soirée en tête toute la journée. La visite d’une amie passa inaperçu, incapable que j’étais de penser à autre chose. Je me voyais déjà avaler le sperme d’un autre, cela me plairait-il ? La soirée passée en club et ...
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