1. Le stagiaire et mon cul


    Datte: 10/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Depuis plusieurs mois maintenant, Joel avait réussi à obtenir de Hector et Serge de pouvoir profiter de moi à la fin de la journée de travail. Parfois dans sa voiture, et moins souvent au taf quand il n’y avait plus personne. Dans sa voiture cela se limitait le plus souvent à une petite pipe. A la banque, mon bureau servait alors de baisodrome. Je ne suis jamais très sereine lorsque cela se passe au boulot, même si nous prenons nos précautions, nous pouvons nous faire surprendre. Le bon côté est que Joel met pas mal d’intensité à baiser celle qui lui donne des ordres la journée, du coup je prends beaucoup de plaisir. Autant mes clients ne se posent pas de questions l’hiver de voir sur mon bureau une boite de mouchoirs, l’été certains me demandent si je fais pleurer mes clients. Mais mis à part la bite de Joel je ne vois pas. Et justement un soir, il devait être 19h 19h15, après avoir fermé les portes du bureau, Joël avait débarqué dans mon bureau en fin de journée. Journée durant laquelle je lui avais demandé devant d’autres collègues à plusieurs reprises de m’apporter du café, de faire ceci ou cela… Il m’avait alors dit : - Ça t amuse petite pute de m’humilier devant mes potes ? Viens la et suce-moi la queue ! Mutine, tout en me mettant à genoux je lui avais répondu qu’il fallait bien cela pour qu’il me donne du plaisir ! A partir de là, rapidement je m’étais retrouvée avec sa queue au fond de la gorge. Joel aime beaucoup me voir galérer à le sucer, avoir du mal à respirer, ...
    ... baver. La bouche ouverte, une de ses mains sous mon menton, l’autre sur ma tête, ses coups de reins suffisaient à le pomper, moi à baver. Malheureusement les bureaux ne sont pas vraiment isolés, et le bruit se propage facilement. Dans ma banque, une cloison sur quatre de tous les bureaux est un grand vitrage. Un grand store vénitien vient occulter les bureaux. Ce store est tout le temps baissé jusqu’ à hauteur du bureau en journée. Face à mon bureau, un autre bureau, occupé actuellement par un stagiaire, Theo, dans la banque depuis 3 mois. Plutôt pas mal. Joel, après cette petite pipe baveuse et bruyante, veut maintenant me prendre en levrette sur la moquette. Rapidement au sol devant la fureur des coups de butoirs de Joel, en tournant la tête, je remarque immédiatement que quelqu’un est dans le bureau en face du mien, les stores sont baissés, la lumière est éteinte. Je le remarque car lorsque je tourne la tête, je vois une forme reculer comme pour se cacher dans le noir du bureau. Là plusieurs choix s’offraient à moi. Bizarrement et sans réfléchir je décide de ne rien dire, car il y a de fortes chances que cela soit le stagiaire. Après tout il ne sait pas que je l’ai vu, je suis sa cheffe il ne peut rien dire, et de plus je sens immédiatement monter un plaisir intense à la sensation d’être matée en train de me faire démonter devant le regard de cette personne qui est surement Théo. Impression qui se confirme lorsque je vois une forme se rapprocher à nouveau pour mieux voir. ...
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