1. Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 3)


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Anal Gay Transexuels

    J’en aurais sursauté, si je n’avais pas le sextoy qui vibrait en moi et me retenait à la chaise ! Merde ! Qui avait bien pu me photographier dans cette position plus que gênante ? Lentement, je m’avançais, sortant le sextoy centimètre par centimètre de mon derrière… il vibra encore un peu, tout humide, au milieu de la chaise, avant de s’arrêter. J’avais un peu mal, mais en même temps, ne plus avoir le jouet créait un grand vide en moi… Mais je ne pouvais me concentrer sur ce vide, mon esprit en état de panique à cause du flash. Je sortis la tête du cagibi… mais ne vis personne. Il fallait que je me rhabille, puis que je fouille l’étage… Il fallait aussi que je nettoie le sperme que j’avais laissé sur la chaise, sur le sol… non, ça après, d’abord retrouver qui m’avait photographié… donc d’abord remettre mes vêtements…Mes vêtements ?Je sentis la sueur froide couler le long de mon épine dorsale et mes cheveux se dresser sur ma tête : mes vêtements n’étaient plus là ! Ils étaient pourtant bien derrière la chaise (j’avais trouvé cela une bonne solution, pour éviter que mon sperme ne les salisse !)… je regardais tout autour de moi, mais plus de vêtements ! J’étais tellement occupé à me donner du plaisir que je n’avais pas entendu quelqu’un s’approcher, piquer mes vêtements, et me photographier ! J’étais totalement dans la merde !Complètement nu, je sortis du cagibi. Je vis aux petits chiffres digitaux rouges immobile que les ascenseurs n’étaient pas en mouvement. Sur ma gauche, ...
    ... les bureaux vides et les bureaux de Stéphanie et d’Andréa étaient sans lumières et complètement silencieux. Qu’allais-je faire ? Je n’allais quand même pas rentrer à poil ! La seule lumière de l’étage venait de mon bureau. Mon bureau où se trouvait mon manteau ! Avec lui je pourrais rentrer chez moi plus ou moins discrètement, en tout cas sans me faire arrêter pour outrage à la pudeur sur la voie publique !Je me rendis dans mon bureau… pour constater que mon manteau n’était plus là ! Catastrophe ! Je portais mes mains à ma tête ne sachant plus quoi faire… en tournant sur moi-même, je vis la porte du bureau de Nancy grande ouverte… et sur son bureau… mes vêtements ! J’entrais, en réalisant que si les lumières étaient allumées et la porte ouverte, c’est que… je m’arrêtais au milieu de la pièce et tournais sur moi-même, vers les fauteuils, sentant sa présence. Elle y était assise, sirotant un verre de vin blanc, me regardant. Mais pas avec un sourire sensuel ou des yeux rieurs. Elle avait le regard dur et les lèvres serrées… Lèvre qu’elle entrouvrit pour dire, d’une voix dure…- Pathétique !- Je…- Pathétique, comme tous les hommes ! On leur offre une situation de rêve, un poste prestigieux, de l’argent, et ils mettraient tout par terre juste pour sentir le plaisir de leurs petits sexes qui éjaculent…Le rouge aux joues, honteux, je baissais la tête, cachant mon sexe derrière mes mains. Elle posa son verre de vin sur la table basse, juste à côté d’un appareil photo, puis se leva, et ...
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