1. 20 ans déjà (la suite)


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Première fois

    J'en ai sucé 6 d'affilée, enfin cinq parce qu'il y en une qui est passée deux fois, j'avais dû ne lui vider qu'une couille... J'oubliais tout, les copines, mon mari...c'était divin, les différents goûts des spermes se mélangeaient dans ma bouche, j'en avais partout sur le visage et j'ai pu enfin me caresser pour délivrer l'orgasme qui tambourinait dans mon ventre.Je n'avais bizarrement pas envie d'être baisée, j'avais juste envie de sucer, de pomper toute la nuit des queues nouvelles, inconnues, de les dégorger avec passion en me caressant la chatte, de présenter ma bouche à une fontaine à foutre et de boire mon petit lait toute la nuit. Je devenais accroc au sperme tiède et gluant qui jaillissait de leurs tuyaux gonflés.J'avais complètement oublié mon hôte et j'ai même eu du mal à le reconnaître quand il est entré dans la cabine pendant que je continuais de me branler. Il a doucement nettoyé mon visage avec un kleenex et a posé ses lèvres sur ma bouche encore sale pour y enfoncer sa langue et m'offrir un baiser tellement sensuel que j'ai enfin joui dans ma main, par petits jets de mouille en suçant frénétiquement sa langue.« Viens »Mon guide me tendis la main une nouvelle fois et me fit sortir de la cabine complètement nue, le maquillage coulant, le visage encore souillé de foutre. Dans le couloir des hommes se branlaient. Ils avaient pu voir mes exploits par une petite fenêtre installée sur la porte de la cabine. Leurs commentaires furent élogieux à notre passage« ...
    ... quelle suceuse ! »... « tiens, j'en ai pour toi, salope ! » « j'ai les couilles pleines, tu me les vides ? »etc...Mais mon cavalier continua son chemin sans y faire attention et me fit monter l'escalier pour déboucher dans une salle brutalement éclairée par des projecteurs de cinéma. 5 hommes étaient assis nus dans des canapés, certainement des hardeurs car ils étaient vraiment bien foutus, minces et musclés, avec des gros sexes qui se reposaient le long de leurs cuisses.« Tiens, mets-ça »Il me tendis une laisse de chien que je mis autour du cou sans discuter, déjà prête à partir en ballade avec mes maîtres et leurs gros bâtons.Un premier sifflet émergea du canapé« hou la petite chienne... »Ils commençaient à faire gonfler leurs queues avec leurs doigts, se masturbant de plus en plus vigoureusement et j'étais en train d'halluciner sur la taille de leurs sexes quand une première consigne claire me fut adressée.« À genoux salope ! »Je n'attendais que ça... qu'ils me donnent leurs queues à sucer, à boire, à nettoyer, qu'ils me baisent la bouche comme une pute en m'insultant. J'avais perdu toute fierté, j'étais devenue une simple vide-couilles, une bouche à pipes offerte en libre service.Ils se lèvent. Presque en même temps comme un seul homme. Leurs grosses bites sont déjà bien raides, leurs glands humides.J'ouvre la bouche en grand, je tire la langue comme une affamée en les regardant droit dans les yeux, pour les provoquer et les exciter encore davantage. Je passe ma langue ...
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