1. après la colo


    Datte: 11/09/2019, Catégories: Gay

    ... levé ! As-tu bien dormi ? » « Pas trop mal » me répondit-il.Je me posais la question de savoir si il m’avait vu à poil. La journée s’est passée à se rappeler les souvenirs des colos.Le soir venu au moment du coucher, alors que j’étais déjà sous les draps, Frédéric encore en slip me demanda : « Je voudrais dormir avec toi ! »Surpris, je luis répondais « Tu sais je dors à poil » « Je sais je t’ai vu ce matin te lever. Et puis moi aussi ».Sans attendre il fit tomber son slip et se glissa dans mon lit. J’eus juste le temps d’apercevoir ses poils sombres de son pubis, son sexe circoncis au repos sur ses boules.Il se colla tout de suite à moi. Face à face, nos sexes ne tardèrent pas à gonfler au contact l’un de l’autre. Nous nous enlacions, caressions le corps l’un et l’autre. Dans ses mouvements, je sentais son inexpérience en la matière. Je décidais de l’initier.Je le mis sur le dos, son corps était tendu. Je virais la couette. Je me couchais sur lui, ma bouche embrassant son cou de baisers tendres, descendant doucement vers ses petits tétons que je commençais à suçoter l’un après l’autre faisant tourner le bout de ma langue autour, les tétant comme un bébé. Aux gémissements qu’il émettait, j’étais sur la bonne piste, au bon endroit. Je continuais mon exploration linguale jusqu’au nombril, puis un peu plus bas afin que mon menton touche son gland. Son sexe était dur comme du bois. Je ne voulais pas aller trop vite afin qu’il n’éjacule trop tôt, j’avais d’autres plaisirs à lui ...
    ... faire découvrir.Je remontais doucement vers ses tétons que mes doigts continuaient de titiller, pour revenir sur son cou, vers sa bouche qu’il m’offrit. Nos langues se rencontrèrent, se caressaient, comme des serpents qui joutent. Décidé cette fois à aller goûter son membre, je descendis de nouveau sans oublier au passage ses tétons. Arrivé à son sexe, je commençais à le sucer comme une sucette, juste le bout que l’on serre entre ses lèvres. Il y avait déjà un petit goût salé. Ma langue contournait le collet, en revenant sur le frein et finir en le prenant en bouche. Mes mains ne restaient pas inactives, elles caressaient le pli de l’aine, ses testicules, l’intérieur de ses cuisses qu’il écartait au fur et à mesure du plaisir qu’il ressentait, comme s’il m’offrait le passage entre ses fesses. Devant une telle demande, ma langue longea sa verge qui était comme je les aime, c’est-à-dire ni trop longue, ni trop épaisse – aussi dure qu’un piquet, pour arriver sur ses testicules remontées au maximum. Je les léchais, avant de les introduire dans ma bouche. A ce moment, Frédéric se raidit, soulevant son bassin, comme s’il allait tout lâcher. J’ai arrêté momentanément pour m’occuper de ses cuisses. Je les écartais le plus possible pour y passer ma tête pour lécher son périnée. A cet instant ces cuisses furent prisent d’un frisson. Sans tarder, je remontais sur son sexe que cette fois j’engloutis entièrement en faisant un mouvement de va et vient jusqu’à toucher sa toison. Ma salive ...