1. La révolte


    Datte: 11/09/2019, Catégories: hsoumis, Transexuels 69, pénétratio, aventure, sf,

    ... je découvris la scène avec effroi avant même d’avoir eu le temps de me l’imaginer : dans une cellule, attachée nue pendue par les poignets, par des chaînes prises haut dans les barreaux de la grille, Alys, qui paraissait inconsciente, était assaillie par une surveillante qui lui maintenait les hanches et la pénétrait en couinant. Et juste derrière, deux autres, qui ricanaient et attendaient leur tour, en masturbant leurs ignobles verges. Je ne pensais pas être capable d’un tel accès de violence, mais le spectacle qui s’offrait à mes yeux me rendit fou. Lâchant mon arc, et poignard levé, je me jetai en avant et transperçai brutalement le dos de la surveillante qui se tenait dans la porte de la cellule ouverte. Elle s’effondra en gémissant de douleur et d’incompréhension tandis que j’arrachai l’arme de sa colonne vertébrale, et avant même que les autres aient pu réagir, j’avais sauté par-dessus le corps de ma première victime et assené un nouveau coup de taille en plein flanc à celle qui défonçait ma compagne, et elle s’écroula à son tour. Il ne restait plus que la troisième, qui avait reculé instinctivement tout au fond de la cellule en dégainant une arme. Mais ma furie était trop forte, trop rapide, et en une fraction de seconde, je plongeai sur elle et la perforai d’un coup d’estoc en pleine poitrine. Crispé, tremblant, je respirai encore par à-coups quelques longues secondes en contemplant avec rage les proies de ma folie. La première agonisait en geignant ; la seconde ...
    ... perdait son sang sur le sol, sa verge stupide pendant à son côté ; la troisième était déjà morte. Et Alys ne réagissait pas ; elle s’était effondrée comme un pantin accroché à ses chaînes dès que son assaillante l’avait lâchée. — Alys ! Je m’approchai pour écarter ses longues mèches rousses collées à ses joues. — Ma belle ! C’est moi, Johan ! Elle tressaillit, et ouvrit les yeux. — Oh, Johan ! Mon amour ! Elle se redressa pour reprendre appui sur ses jambes et tourner vers moi son visage encore effrayé. — Je ne rêve pas ? C’est bien toi ?— Oui, c’est moi ! Je suis venu pour te sortir de là ! La rage folle dans laquelle je me trouvais toujours décuplait non seulement mes acuités mais également mon optimisme. — Oh, Johan ! Je t’aime ! Mais comment pourrais-tu… Oh mon dieu, tu les as tuées !— Chhhut ! Ces salopes n’ont que ce qu’elles méritent ! Je me baissai pour ramasser les clés sur le corps de la première et mon poignard sur celui de la troisième. Et en moins de vingt secondes, ma compagne fut libre, et s’effondra à genoux. Je la relevai doucement pour l’étreindre un moment. Elle grelottait. J’arrachai la tunique la moins déchirée et ensanglantée d’une surveillante pour la lui enfiler. — Merci.— Est-ce que tu peux marcher ?— Je… je ne sais pas… Oui, ça devrait aller…— Attends… Coinçant mon poignard en perçant le tissu de mon jean, je passai un bras sous les cuisses d’Alys pour la porter. — Non, non, je vais y arriver.— Suis-moi, les autres détenus ont trouvé une issue. Sans plus ...
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