1. Nouveaux rapports dans le couple


    Datte: 05/09/2017, Catégories: fh, fsoumise, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, fouetfesse, couple,

    ... tirai brutalement vers le bas. Elle se retrouva culotte aux genoux, jupe relevée, fesses à l’air… Mon jean se tendit instantanément à cette vue superbe de la paire de fesses fermes et rebondies de ma femme. Surprise, Laurie tenta de se dégager. — Non, non ! Paul ! Si mes culottes ne te plaisent pas, tant pis pour toi ! Cette remarque fut celle de trop. Ma main claqua sur ses fesses, un claquement sec et très sonore. — Aiïïë ! Étonnée de mon comportement, sentant que cela dépassait le cadre du simple jeu, elle en resta sans voix et sans bouger, durant de longues secondes. À cet instant, je me dis qu’elle méritait une explication sur ma réaction. Son comportement ne faisait qu’empirer mois après mois, surtout à cause du stress accumulé au travail. Je m’étais déjà dit qu’elle avait sûrement besoin d’un homme qui prenne les décisions, peut-être plutôt autoritaire, et qui lui dirait tout ce qu’elle devrait faire. Elle n’aurait plus à réfléchir. Et comme cela m’excitait également, je lui avouai tout cela. — L’heure est venue de te montrer mon autorité, ma chérie. Jusqu’à présent, tu prenais beaucoup trop de décisions dans notre foyer, en plus de celles que tu dois prendre au travail. Le stress et la fatigue que tu accumules depuis des mois doivent cesser. Alors, à partir de maintenant, c’est moi qui te dirai ce que tu dois faire, comment tu dois t’habiller, où nous sortirons, etc. Il va de soi que, pour que tu te sentes vraiment libérée de toute décision, je ferai tout pour que ...
    ... tu ressentes mon autorité. Sur ces paroles qui me faisaient un peu trembler moi-même, je me levai et la regardai dans les yeux, attendant sa réponse. — Eh bien… je ne sais pas quoi dire, Paul… Peut-être qu’on pourrait essayer… Laurie m’excitait terriblement : l’entendre ainsi, exprimer son accord, culotte baissée (ma femme garde une légère toison pubienne), provoquait chez moi un désir que je réprimai difficilement. Je continuai sur le même ton viril. — Alors essayons. Remonte ta culotte, va dans la chambre et assieds-toi sur le lit ! dis-je avec force. Elle m’obéit, et je la suivis dans la chambre. Une fois Laurie assise, j’ouvris sa garde-robe et fouillai dans ses vêtements. — D’abord, voyons les vêtements que tu vas porter aujourd’hui. Je sortis dans l’ordre : une courte jupe droite noire qui lui arrivait à mi-cuisse, et un chemisier blanc semi-transparent. Sans la regarder et sans hésiter, j’ouvris son tiroir de sous-vêtements et en sortis une guêpière noire en dentelle, avec porte-jarretelles, qu’elle ne portait jamais, ainsi qu’une paire de bas noirs. Volontairement, je ne sortis ni string, ni culotte. Je posais le tout sur le lit à côté de Laurie. — Voilà tout ce que tu vas enfiler dès maintenant. Tu iras mettre les chaussures à talons noires que tu as portées au mariage de ta cousine. Je la fixais dans les yeux tandis qu’elle se mettait debout. — À partir de maintenant, tu retires tout ce que tu portes, et je dis bien tout ! Une fois toute nue, tu te rhabilles avec ce ...