3 ans de pénitence -9
Datte: 11/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
Partouze / Groupe
... Maître chéri.β Voilà ! D'accord.β Merci Maître.Elle se trousse enlève sa culotte et va s'accroupir sur le sexe énorme. Elle grimace, mais finit par s'asseoir complètement sur l'homme, avec au moins 25 cm de bite dans la chatte !Le viking dit :β A toi Lucie.β Oui Maître.Elle s'assied carrément sur le visage du viking, le visage vers ses pieds. C'est à dire vers sa copine qui se fait aller est venir sur l'énorme bite.La mère vient d'engloutir sa dernière bouchée et dit :β Déjà 20 minutes les gars, traîner pas.Le gros qui a maintenant glissé sa grosse patte dans ma culotte me dit :β Debout !J'obéis tout de suite. Il va dans sa poche et en sort une petite boite de conserve. Il me dit :β Va donner ça à la mère.Je vais déposer la boite devant elle, tandis que le gros lui dit :β Véritable truffes noires du Périgord, ma mère.Ça, c'est comme du miel qui coule dans ses oreilles. Sa main devient serre de rapace pour se saisir de la boite.Le gros me dit :β Fais moi une petite danse et montre bien ton cul, petite.Tout en boulottant ses truffes, cette fois-ci, je peux vraiment dire, comme une truie puisqu'on se sert des cochons pour repérer les truffes, elle dit : β Si elle n'obéit pas.. chomp... chomp... prend le martinet qui est au clou.C'est magique, je me mets à danser et même à me pencher en avant pour bien lui montrer mes fesses.Il siffle et dit :β Pas mal... tourne-toi. C'est des marques de cuiller en bois sur tes fesses ?β Oui, Monsieur.β C'est joli, ça décore bien ton cul. Bon, ...
... fais moi une pipe.NON !β Oui MonsieurIl extrait de son pantalon une grosse asperge blême qui repose sur deux énormes patates. Oui, c'est un maraîcher ! Il me regarde puis baisse les yeux sur l'asperge.Je vais me mettre à genoux entre ses cuisses.Loin de moi l'idée de dire que ses légumes ne sont pas frais. Ils l'ont été mais, il y a très longtemps. J'ambrasse son sexe, il est gros mais mou, il ne bande pas. Je tire sur la peau du prépuce. La vision du martinet pendu à un clou et bien en évidence a été suffisante pour que je me décide à faire ce qu'on me dit. Le gland est mouillé. Je le prends en bouche. Vite beaucoup de salive pour noyer le goût. Cette cuisine c'est l'enfer : j'ai dû avaler de la moutarde, lécher le sol tout en recevant des coups de cuiller en bois sur les fesses et, maintenant, j'ai cette ce gland dégoûtant en bouche. Je le fais aller et venir dans ma bouche, au plus vite il jouira, au plus vite j'aurai finit...Il me caresse la nuque de sa grosse patte. En levant les yeux, je vois qu'il regarde son collègue occupé avec les deux filles.Ma bouche et le spectacle doivent l'exciter suffisamment parce que son gland grandit dans ma bouche. Il se met geindre et à faire des bruits rauques.La mère vient me donner une assiette à soupe et me dit :β Quand il jouit, crache là-dedans.Oh ! C'est vraiment gentil, je ne dois pas avaler ! Si je n'avais pas la bouche pleine je le remercierais. ça y est, le gland grossit encore dans ma bouche qui s'emplit par saccades de foutre ...