Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise (2)
Datte: 11/09/2019,
Catégories:
Erotique,
... côté, il y avait Sharon qui n’était vraiment pas à l’aise, assise sur sa chaise. De l’autre, le maître de maison qui, même s’il ne laissait rien paraître, était curieusement et intérieurement ravi de cette situation. Bien évidemment, il se serait bien passé de cette frayeur qu’il a eue mais il s’est rendu compte que ça pouvait lui être profitable. Il s’était donné un but : essayer de soumettre cette frêle jeune fille à ses envies, sans grand succès jusqu’à présent. Il était parvenu à stimuler sa curiosité pour la chose et après l’avoir pris la main dans le sac, quelques minutes plus tôt c’était la main dans la culotte, il l’avait fait culpabiliser de ne pas avoir suivi les règles établies dans cette maison. Sa maladresse de ces dernières semaines n’était pas pour lui déplaire car ça lui avait permis d’assurer son rapport de supériorité sur elle. Maintenant que cette histoire de bébé oublié dans le bus était réglée, il comptait bien la mettre à profit. — Sharon … Que vais-je faire de vous ? — … — Vous vous rendez-compte qu’à l’origine, vous occuper d’Oscar c’est votre boulot ? C’est bien pour ça que vous avez été engagée ? — Oui monsieur. — Je peux passer les chemises brulées au fer à repasser et mon costume que vous avez bousillé en le lavant avec le mauvais programme à la machine mais là, vous comprendrez que je ne peux pas laisser passer. pzvpqqw — Je comprends. Je vais faire mes valises et …. — Attendez, je n’ai pas fini. Rasseyez-vous. — Oui monsieur. — Vous voir ...
... partir, je n’en ai aucune envie. J’ai besoin de vous au quotidien pour garder mon fils et pour s’occuper de la maison. En plus, Oscar vous aime bien et au final moi aussi. Malgré tout il faut bien sanctionner ce qu’il s’est passé. J’y ai réfléchi et ….. On va aller sur le canapé, on sera plus à l’aise. Ils se sont alors assis, l’un à côté de l’autre sur le canapé. Jean-Luc ayant une lueur un peu coquine dans le regard. — Voilà, on sera plus à l’aise. Donc J’ai réfléchi et je crois que j’ai trouvé quelque chose qui pourrait nous être profitable à tous les deux. — C’est-à-dire ? — Je pense ne pas me tromper en disant que, plus le temps passe et moins vous avez envie de revenir à votre ancienne vie. Je me trompe ? — …. Non. C’est vrai que j’aime être ici mais je ne veux pas non plus quitter ma famille. — Dites-moi, quand vous aurez fini votre contrat ici, que se passera-t-il ? — Et bien je rentrerais chez moi et je me marierai surement avec celui que mon père a choisis. — Ça n’a pas l’air de vous emballer, vu la manière dont vous en parler ? — Quand j’ai rencontré mon futur mari, il m’a paru dur et il avait un regard vicieux. — Et ça doit vraiment se passer ? Je veux dire c’est votre vie quand même, c’est à vous de décider. — Oui mais, chez moi, c’est comme ça que ça se passe. — Bon, OK …. D’après vous comment va se passer votre nuit de noce ? Et la suite ? — Ça m’angoisse. J’ai peur qu’il me fasse mal. Mais pourquoi vous me posez toutes ces questions ? — J’y viens. Comme vous l’avez ...