1. Pas d'obligation d'achat


    Datte: 05/09/2017, Catégories: fh, fffh, enceinte, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, attache, amourdura,

    Voilà près de vingt ans que je fais de la politique. J’y suis entré un peu par hasard, à l’occasion d’un stage dans un ministère. N’ayant rien connu d’autre que le milieu estudiantin, j’y avais vécu l’enfer et subi tous les modes imaginables d’humiliations et de brimades. La rage au ventre, je n’avais toutefois rien lâché. Ma ténacité finit par impressionner une proche collaboratrice du ministre. Elle me délivra une attestation de stage en or, sésame incontournable pour une carrière dans ce milieu sans foi ni loi. Elle seule sait à quoi se référaient les termes « endurant » et « capable des meilleures initiatives ». J’imagine que mon dernier examen de passage dans son bureau personnel n’y fut pas étranger. Elle ne s’était en tout cas pas retenue de tester en détail l’étendue de mes compétences viriles. Particulièrement bien formé à la dissimulation, je n’avais laissé à aucun moment percevoir à quel point mes idées politiques et, surtout, mes goûts érotiques différaient des siens. Sans sourciller et avec l’enthousiasme d’un jeune militant, j’avais massé ses seins mous, tringlé son sexe dégoulinant, claqué ses fesses sans envergure et bousculé son bas-ventre trop consensuel. Pratiquant une alternance droite – gauche particulièrement jouissive, j’avais su la convaincre des effets de ses charmes sur ma libido. Gâterie suprême, avant même qu’elle me le demande, j’avais abandonné la langue de bois pour mieux la faire jouir. Je garde comme trophée de la plus voluptueuse ...
    ... compromission politique le goût de la giclure de mouille qu’elle injecta dans ma bouche lorsqu’elle adhéra corps et âme à mon discours libidineux. Depuis cette date, rien ni personne ne m’a plus arrêté. Même mes adversaires les plus coriaces admirent mon ascension fulgurante, fut-ce avec une pointe de jalousie. Député d’un département de l’est de la France à moins de trente ans, secrétaire d’État deux ans plus tard, maire à trente-trois ans, je peux viser aux plus hautes charges nationales dans les prochaines années. Mais tout cela a un prix. Je vis une vie de dingue et ne trouve ni le moyen ni surtout le temps de développer de relation stable. Certes, je profite à fond des nombreuses aventures qui se présentent au cours de mes tournées électorales. Il n’empêche, depuis quelque temps, le concept de développement durable prôné par Les Verts correspondrait assez bien à mes désirs sexuels profonds. Mais c’est bien la seule idée que je suis disposé à reprendre de leur programme. Les choses ne sont malheureusement pas près de s’arranger depuis que le bruit court qu’une place de ministre pourrait être à ma portée. À défaut, le lot de consolation pourrait être la vice-présidence ou le secrétariat général du parti. En attendant mieux… Ceci dit, dans ce genre de carrière, le seul moyen de résister à la pression tient à une organisation sans faille, et quelques principes inamovibles. L’un d’entre eux concerne mes relations avec les journalistes. J’ai pour habitude de répondre à chaque ...
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