1. COLLECTION LIBERTINAGES. Le transfert. (1/1)


    Datte: 13/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... quantités de sperme que j’avais en réserve sans penser que ce serait dès cette nuit que je le ferais. La petite a joui au deuxième coup que je lui ai mis la prenant en levrette, elle était attentive à être une bonne épouse et si je l’avais voulu j’aurais pu la sodomiser car elle était prête à tous faire pour le plaisir de son mari. Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre jusqu’à ce que le réceptionniste appelle pour que le couple se prépare pour que je les conduise en Espagne. Je lui ai mis la main aux fesses pour la pousser vers la salle de bain se préparer en prenant son temps lui disant que je rejoignais la chambre de Benoît qui devait être déjà prêt car il était prévu qu’il soit réveillé avant nous. Avant de passer la porte elle s’est retournée me lançant un baiser me montrant sa chatte et me disant que j’étais fou de refuser un vagin comme le sien. Voilà une difficulté dans l’écriture, j’ai écrit « me disant que j’étais fou… » alors que j’aurais dû écrire « me disant que Benoît dans la chambre voisine était fou… » avant de disparaître faire couler son bain. Grâce à la clef de la chambre voisine que j’avais subtilisée je me suis glissé nu dans ma chambre par le couloir, Bruno encore endormi ronflait le combiné téléphonique posé près de lui le réceptionniste avait appelé et comme il était toujours aviné et sous-sédatifs il s’était rendormi. Je l’ai secoué pour qu’il se réveille et quand il m’a vu, a tiqué me connaissant sachant ce que j’avais fait à sa place. Beau ...
    ... joueur, cela l'a calmé surtout que je lui ai promis que le soir en Espagne et pendant trois jours sur les huit que nous devions passer je sortirais tous les soirs chercher un bar gay pendant qu’il consommerait notre voyage de noces. « Notre » car j’avais dans l’esprit qu’après trois jours je trouverais le moyen de la prendre en double pénétration ce qui nous ouvrirait de bonnes options pour notre vie à l’appartement les soirs après la Fac. L’appartement je l’ai retrouvé quatre jours plus tard en sortant de l’hôpital puis du cimetière où nous avons enterré le jeune marié broyé par la voiture qui avait grillé un stop sur la toute menant à l’autoroute. Les analyses ont montré que j’étais sobre alors que la partie adverse avait plus de 3 grammes dans le sang, l’assurance a donné à Laure de quoi vivre plus que largement sans avoir besoin de travailler. Nous l’avons beaucoup pleuré et la vie a continué personne n’ayant trouvé étrange que nous continuions nos études en étant colocataire, mais rapidement j’ai vu que mon frère était toujours présent en m’ayant mis une barrière entre celle que j’aimais comme il l’aimait et moi, mon homosexualité. Nous avions chacun notre chambre mais les parties communes m’ont rapidement posé problème sans pour autant que je lui dise. Au début tout allait bien, nous vivions comme des amis mais après les fêtes les choses ont commencé à changer pour atteindre son apogée quand la température à commencer à remonter. Laure s'est mis à porter des tenues plus ...