C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (7)
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
— C’est bon salope, tu as assez pompé, allonge toi et je vais préparer ta putain d’huître pour qu’il te baise comme tu le mérites. Elle se montre docile, soumise, et s’abandonne à nos désirs. Elle est sur le lit, sur le dos, la tête qui pend en arrière, la gueule grande ouverte. Le black s’agenouille, son sexe à hauteur de sa bouche, et entreprend de la baiser à nouveau en gorge profonde. Pour ce qui est de moi, je glisse ma main entre ses cuisses, la pénètre, la fouille, la fiste. De temps en temps il se retire pour la laisser reprendre souffle. Elle tousse, crache des flots de salive, et dès qu’elle veut énoncer un mot il la reprend sans même savoir si elle voulait nous engueuler ou nous encourager à y aller encore plus fort. D’après moi elle veut que l’on continue, au vu de sa chatte ruisselante. Elle mouille à flots cette putain et on va s’enfoncer au maximum, le gland du black au fonds de sa gorge, et mon poing fermé qui frappe son utérus. Elle est dilatée à un point que je me retire et laisse sa vulve se refermer doucement pour qu’elle sente mieux notre copain noir l’enfiler. Il se retire lui aussi et elle se lève pour se tenir debout, penchée en avant, entre les deux lits. Le contrôleur la prend en levrette tandis que je lui offre mon sucre d’orge. Elle le suce avec application tout en se faisant bourrer copieusement la chatte. Je sens mon gros bonbon prêt à fondre, et je la maintiens plaquée contre moi, mon gland sur la langue, pour qu’elle ne perde rien de ma ...
... précieuse liqueur. Elle sirote tout avec délice et me tire sur l’élastique pour bien me vidanger. Je suis soulagé, et c’est au tour de son autre partenaire de venir. Il se retire, la retourne, et a juste le temps de planter son dard dans sa bouche, qu’il éjacule avec de grands soupirs qui n’en finissent pas, signe de la quantité impressionnante de sperme qu’il crache dans sa bouche. Elle s’en voit à tout avaler mais s’efforce de ne rien gaspiller. Il a tout donné, et se dégage pour se rhabiller. Il est vingt-trois heures à peine passées, et on se propose de remette ça à deux heures du matin. En attendant il regagne sa cabine, et je dors avec Elodie, chacun dans son lit pour être sûr de se reposer. On a mis le réveil à 1h45, au cas ou notre partenaire serait à l’avance, mais aussi pour s’offrir des préliminaires. Elle me rejoint dans mon lit étroit, on est collé l’un à l’autre, on s’embrasse, on se caresse, on se masturbe. A deux heures le contrôleur frappe à la porte et Elodie se précipite pour lui ouvrir: — Ah, enfin! Déshabille toi, vite, j’ai besoin de ta queue. — Avec plaisir, salope, je vais te baiser encore plus fort. — Non, je m’en fous d’être baisée, je veux que tu m’encules. — Je voudrais bien, tu serais la première. Personne n’a jamais osé la prendre par derrière. Tu en as déjà pris d’aussi grosse. — Non, mais je m’en fous, je la veux, et bien profond. Casse moi le cul. Il hésite, elle insiste, et on finit par s’arranger. Je vais la préparer, et il va conclure. On est à ...