1. L'île aux cochons (3)


    Datte: 14/09/2019, Catégories: Erotique,

    ... Il alla retrouver Fang. Il échangèrent quelques mots, me firent des petits signes puis partirent vers les dunes. Me voyant seule, Masaru vint s’asseoir à côté de moi. Il portait un short et un maillot coloré, assez voyant. — Vous avez pensé à demain, duchesse ? — Qu’est-ce que tu veux dire ? Je demandais en prenant sa main. — Les autorités, les journalistes, tout le monde va nous poser des questions. Ils attendront des réponses. — Tu as raison. Ils ne comprendraient pas ce que nous avons vécu et saliraient notre histoire. Cela ne doit pas arriver. — Je voulais être sûr que vous pensiez la même chose que moi. Il appela Rodrigo et Honesto. — Mes amis ! Demain, vous allez retrouver vos familles. Tout le monde voudra savoir comment nous avons survécu. Ils attendent une belle histoire. Nous ne devrons pas les décevoir. Si nous sommes malins, nous aurons la gloire et les récompenses. Si nous sommes idiots, nous n’aurons que des ennuis. Je hochais la tête pour montrer mon accord et pris la parole à mon tour. — Nous sommes des naufragés courageux qui avons survécu dans des conditions difficiles grâce à notre courage et à notre solidarité sans faille. Le reste sera notre secret et devra rester sur l’île. Rodrigo et Honesto étaient loin d’être stupides. Ils acquiescèrent de la tête. — Mes héros ! Il nous reste encore une nuit ! Je proclamais en enlevant les vêtements qui me brûlaient la peau. Nue, je courus vers la plage en riant. — Le premier qui m’attrape ! … Aussitôt, les trois ...
    ... hommes abandonnèrent leur short et leur chemise pour se lancer à ma poursuite en poussant des hurlements de sauvages. Ils bandaient comme des satyres. Demain, je redeviendrais une aristocrate respectée et eux, des matelots courageux, mais ce soir, je voulais n’être que la femelle de ces mâles en rut. Ma chatte s’épanouit comme une fleur quand Honesto, plus rapide que ses compagnons, plongea sa queue dedans. Après qu’ils m’aient tous passé dessus, chacun comme il l’entendait, ivre de plaisir, je me laissais emporter par le sabbat. Impudique au milieu des diables aux corps illuminés par les flammes du foyer, je dansais lascivement aux rythmes des percussions improvisées. Nue, libre et affamée de stupre, j’offrais mes fesses, ma chatte et mes seins, aux caresses obscènes que j’appréciais tant. Soudain, Rodrigo et Honesto me prirent par les bras et les jambes, me soulevèrent comme une plume et me menèrent devant le superbe Masaru. Celui-ci attendait assis sur un rocher comme un roi sur son trône. Ils ouvrirent mes jambes et présentèrent ma vulve dégoulinante de jus au pénis dressé droit sous le ventre de l’imposant bouddha. Masaru souriait, visiblement amusé par la façon dont ses compagnons m’offraient à son désir. Il pressa et caressa mes mamelons avec ses larges mains pendant que les matelots empalaient lentement ma chatte dilatée sur son magnifique pieu de chair. J’étais l’offrande enthousiaste de cette cérémonie primitive. Les deux officiants m’enfilaient sans faiblir par ...
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