Les inconnus du Capitole
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... deux doigts et le ramone copieusement, ne s’interrompant que pour les porter à sa bouche afin de les lubrifier mieux… Moi je bande douloureusement et je suis obligé de me caresser. C’est dingue ! Le mec halète de plus en plus fort, il va lui arroser la langue d’un geyser de foutre brulant, et elle, vorace et affamée de jus, s’active dans ce but… Contre toute attente, il repousse gentiment mais fermement la lionne en chaleur. Il veut que ça dure, le voyage est encore long. Frustrée, elle se lève d’un coup dans le compartiment et nos regards se croisent, flamboyants, ne prenant même pas le temps de se dissimuler derrière quelconque convenance. Le sien dévie de quelques angles et se pose sur ma main en flag sur ma queue luisante. - Oh mais je vois que Monsieur est en forme ! - Il faut dire que le spectacle aurait fait bander un moine eunuque ! Elle sourit. - Mon mari et moi aimons bien les expériences sexuelles débridées et insolites, tu te joins à nous ? - Euh… Pas le temps d’hésiter, la diablesse se hisse sur l’échelle et s’empare de ma queue, dégageant ma propre main d’une moue dédaigneuse. Pendant qu’elle commence à me branler sans oublier de visiter tout mon entre-jambes en insistant sur les points névralgiques, je vois son mec qui se lève et s’approche. Forcément, il a le cul de sa femme à portée de langue. J’aurais fait comme lui : il écarte les deux lobes charnus et lui bouffe la rondelle en lui caressant le clito du bout des doigts tandis que sa paume masse sa vulve et ...
... l’entrée du trou resté libre. Tout en gémissant sous l’assaut, elle gravit un nouvel échelon, de sorte que l’homme peut lui déguster toute la fente baveuse…et que moi je peux proposer une sucette à Madame. Elle décalotte mon gland d’un air gourmand, approche délicatement la pointe de sa langue de mon méat pour récolter la grosse goutte de mon petit-jus. Je la vois rouler sur ses papilles, et s’étaler sur ses lèvres carmines comme si elle voulait les lubrifier avec ma mouille. En me matant droit dans les yeux, elle commence par lécher ma tige puis j’ai le droit à la totale, la complète, du nombril au bas du dos. Je tendais, elle prenait. Je me tourne, lui présente mon œillet, elle le lèche avec grâce, le pénètre, le lime à grands coups de langue, c’est terriblement bon…Et c’est sans doute ce qu’elle ressent puisque son homme lui prodigue la même caresse anilinguale. - J’ai envie de ta queue dans mon ventre, maintenant, elle me dit - La SNCF a pas prévu de wagon-baise, je réponds, va falloir se contorsionner. Elle se marre, son mec aussi. On va se débrouiller ! Hop ! Les deux couchettes supérieures sont rabattues contre les parois. Restent les deux du bas. On y voit plus clair. Elle se met directement en levrette, m’offrant le spectacle sublime de son petit trou palpitant et de ses lèvres écartées sur une bouche avide. Je promène mon dard sur sa vulve, du clito au vagin, remonte sur l’anus… - Vas-y bourre-moi ! elle feule. Joignant le geste, elle chope ma queue d’une main ferme ...