Pauline - Années étudiantes (11)
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Trash,
... votre présence chez lui. • Vous avez appelé JC ?... Et la fille ? Elle sait qui c’est… • Elle fait comme vous, elle dit qu’elle était consentante et ne va pas parler davantage. Elle a peur. Il prit les clés des menottes et me détacha enfin. Une fois libre j’ai alors réalisé à quel point elles me serraient et me faisaient mal au poignet. Et le policier me dit • S’il vous plait, dites m’en plus. • Je suis libre ? • Je n’ai plus de raison de vous retenir. Votre père vous attend dans le hall d’entrée. • … Je suis désolée, mais je ne veux pas retomber dans cette histoire… J’ai été consentante, vraiment, et ils ont tout ce qu’il faut pour le prouver et surtout pour éviter qu’on parle. On ne nous croirait pas de toute façon. • « Ils » ? Qui ? • … Ce type, c’est le grouillot des autres. • … Le directeur du lycée est impliqué ? • Je suis désolée, mais je ne peux pas vous aider plus. Vous devez faire votre enquête. Mon père était bien là à m’attendre. Il faisait jour dehors. Une horloge m’indiquait que j’étais resté prêt de quatre heures attachée à cette putain de chaise. J’étais énervée, stressée. Mon père vint vers moi, mais avant qu’il puisse prononcer le moindre mot, je lui dis « On dégage d’ici ! ». Dans la voiture, j’ai crié, j’ai pleuré, j’ai tapé dans mon siège. Et arrivé à la maison, mon père me demanda • Pauline, veux-tu que je reste ? • Tu comptais te casser ? • J’ai des rendez-vous pour mon boulot… Je peux annuler. • Non, vas-y, mais baise-moi avant ! Il ne sut quoi dire, ...
... visiblement choqué par l’ordre que je lui avais donné. Je me suis déshabillée, je suis allée dans la cuisine en posant mes mains sur l’établi et j’ai tendu mes fesses en arrière. Il n’avait pas bougé. • Viens !... Tu sais ce dont j’ai besoin lorsque je suis stressée. • Oui, je le sais trop bien. • Et là, je suis extrêmement stressée. Allez, viens, prends-moi. Il déboutonna sa ceinture en avançant vers moi. Il se plaça derrière moi. Il frotta son sexe encore mou contre ma chatte… Il durcissait, il commençait à être prêt. Et il plaça sa verge à l’entrée de mon vagin • Non, pas par là. Vas-y d’un coup, j’en ai vraiment besoin. • … Mais, tu vas avoir… • Ta gueule ! Et encule-moi ! Vas-y, sale connard ! Montre que t’es un homme ! Son gland à peine à l’entrée de mon anus, il m’attrapa les hanches et s’enfonça d’un coup brusque. J’ai crié de douleur, mes yeux se sont remplis de larmes et pourtant, je me suis sentie en même temps plus détendue, plus sereine. Il me sodomisait à vive allure, mes jambes tremblaient à cause de la douleur qui ne se calmait pas. Et il sortit brutalement, me tira par les cheveux me faisant tomber à genoux devant lui, et il enfonça sa verge dans ma bouche, jusque dans ma gorge, mes lèvres coincées contre son pubis. « Ne me traite plus jamais comme ça ! », et il me maintint dans cette position. Mes yeux ruisselaient, j’avais du mal à respirer, ma salive coulait sur mon menton. Et il relâcha d’un coup son emprise. Je savais qu’il regrettait déjà, qu’il allait ...