Premières vacances de Léa - Histoires de Sexe

Premières vacances de Léa

Résumé : Après avoir fait la connaissance de Rachel, Léa s’est mise en couple avec Nico et ce fut le début de leur vie libertine. Nico et moi sommes déjà ensemble depuis juin, le mois de décembre arrivant, il veut me présenter à sa famille aux Antilles. Nous avons donc pris deux semaines de vacances au moment des fêtes. Depuis le mois de septembre son copain Laurent, ayant terminé ses études, est parti bosser à l’hôpital de Fort-de-France et c’est chez lui et sa femme Marie que nous avons décidé de commencer nos vacances. Ils ont une belle villa avec piscine et vue sur une plage de sable blanc bordée de cocotiers, le rêve pour nous qui arrivons du froid. Laurent, je ne vous le présente plus, un beau black d’un mètre quatre-vingt-cinq, il est maintenant marié à Marie, une Ivoirienne qui bossait avec lui à l’hôpital de Montpellier et qui a trouvé un boulot d’infirmière ici. Elle est assez grande, des seins moyens d’une tenue remarquable et un cul rebondi à damner un saint ! Nous ne nous étions jamais rencontrées, et vu ce que j’avais vécu avec son mec, je me sentais un peu gênée et ne savais pas trop comment l’aborder. Elle me fit un accueil chaleureux, ce qui me laissa supposer qu’elle n’était pas au courant ou qu’elle ne m’en tenait pas rigueur ; dans les deux cas ce n’est pas moi qui allais amener le sujet sur la table. Le premier soir de notre arrivée, ce fut juste un repas, une douche et direct au pieu vu notre état après huit heures d’avion et le décalage horaire. Le ...

... lendemain, nos hôtes travaillant, ce fut farniente sur la plage, bronzage et sieste, ce qui fit que nous abordâmes la soirée en pleine forme. Aux Antilles, la nuit tombe vite et vers 18 h 30, nous nous sommes mis à l’apéro. Là-bas il faut se méfier de leurs apéros, entre le punch et le planteur on est vite pompette et la chaleur ambiante n’aide pas. Au moment du repas nous étions déjà gais et après le repas Laurent nous offrit du champagne et nous nous installâmes au bord de la piscine pour le boire. Après une coupe Marie s’écria : — Allez, tout le monde à l’eau !— Attends, je vais chercher mon maillot, lui répondis-je.— Crois-tu vraiment en avoir besoin ? me répondit-elle en se déshabillant complètement.— Bon d’accord, je te suis. Je me désapai donc aussi et plongeai dans la piscine pour la rejoindre. Les garçons nous regardaient médusés, ne sachant que faire. Ce fut Marie qui les interpella : — Hé les gars, vous attendez quoi, qu’on vienne vous chercher ? Laurent lui répondit : — OK, ma chérie mais faudra pas te plaindre si on ne sait pas se tenir.— Oh, je crois qu’on ne s’en plaindra pas, lui rétorqua-t-elle. Nous étions dans la partie peu profonde et les regardions enlever leurs vêtements ; ils le faisaient sans se presser comme s’ils voulaient nous offrir un strip-tease en préliminaire. À voir la bosse qui commençait à déformer leur slip, nous comprîmes que la situation leur faisait de l’effet. Quand leur dernier rempart tomba, leur sexe était déjà érigé. Ils sautèrent dans ...