1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claire, la fille de Claude (4)


    Datte: 06/09/2017, Catégories: Hétéro

    ... l’effort! Sa bite et tendue au maximum, il la frotte plusieurs fois contre ma rosace ridée puis la maintient contre l’anus d’une main ferme. Son gland appuie de plus en plus fort sur ma rosette et par un mouvement de peur, ma main rejoins la sienne et attrape sa formidable queue essayant de l’empêcher de pénétrer, je serre mon cul face à l’intrus, m’opposant à l’intromission de ce monstre à l’intérieur de mes intestins. Il me prend par les hanches, pousse et réussit à pénétrer mon anus de quelques centiimètres, m’arrachant alors le cri le plus puissant que je n’avais jamais poussé. La douleur me traverse tout le corps dans une décharge monstrueuse -Ooooooooouah !! Tu es trop gros arrête !!! Il pousse encore plus fort. Copieusement lubrifié par ses coups de langue, mon anus cède d’un coup à la pression phénoménale du gland volumineux et je sens mon sphincter qui s’ouvre et lentement avale la tête énorme avant de se resserrer une fois l’ogive passée. Je respire profondément quand je sens la grosse prune épaisse glisser en moi. La douleur est encore plus violente que quand il m’a dépuceler. -Aaaaaaaaaaaaaah !!! Mon Dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!! Je hurle et pleure tandis qu’il me pénètre de plus en plus profondément. Soudain il cesse la pénétration et ne bouge plus. Je reprends mon souffle. — Putain tu me casses le cul avec ton bélier !!!Arrête j’ai trop mal !! Il donne soudain un violent coup de reins. - Wouaaaaaaaah!! ..ooooooooooh !!! noooooooooooon !!! Le ...
    ... mandrin est enfoncé à moitié et il commence un très lent va et vient, sa bite ressort et ce renfonce toujours un peu plus, à chaque poussée il gagne 2 a 3 cm. — Tu es bien serrée et je vais te pilonner a mort, tu vas jouir comme une chienne !!! Lentement il ramone mon cul dilaté par sa queue si épaisse, ses couilles pendent entre mes fesses. Ses mains se placent de part et d’autre de son manche, se saisissant de mes fesses. Il les écarte doucement. Il s’arrête, ressort et me demande en lubrifiant de nouveau copieusement sa bite : - Ça va ? Je n’est pas trop douloureux? Je n’ose pas lui dire la vérité. - Non… mais va doucement… Prends pitié de moi… Mes mains solidement agrippées à la tête de lit, les fesses écartelées par les mains puissantes de Patrick, je suis sa prisonnière. Il me pénètre inexorablement. Son énorme gland ouvrant le chemin à son défonce-cul, il entre de plus en plus en moi. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal. Je serre les dents quand il me renfile son monstre mais je ne peux le supporter. — Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh....Non… non… arrête... Tu es trop gros! Ta bite est trop dure… ! Je le sens glisser entre mes fesses. Il pousse toujours. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate dans la glace non sans une certaine crainte que le sexe monumental de Patrick est à peine engagé dans mon fondement. Je crie quand il appuie encore plus fort et que progressivement sa queue s’introduit dans mes boyaux. Je sens son ...
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