1. Vacances aux Baléares


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Accouplements Érotiques,

    Mon nom est Benjamin R. À 21 ans, je peux me considérer comme un jeune homme privilégié. Alors que je suis toujours étudiant en fac de Lettres Modernes, j'ai publié un livre d'héroic fantasy qui a véritablement cartonné: 100 000 exemplaires vendus en quelques mois. Ma maison d'édition s'est empressée de me faire signer un contrat d'exclusivité pour mes trois prochains livres, à sortir dans les cinq ans qui viennent. De plus, comme l'histoire de mon livre se déroule sur une île, mon éditeur m'a offert un mois de vacances, tout frais payés, sur l'île de Majorque, aux Baléares. Bon, pour celles et ceux qui ne sont pas doués en géographie, les Baléares sont un groupe d'îles en Méditerranée, à 80 km des côtes espagnoles. Et bien sur, l'endroit le plus connu de l'archipel est IBIZA!!! Ah je vois que cela vous parle davantage! Sans doute êtes vous en train de vous dire que ce mois sera synonyme de fêtes, boites, alcool et autres divertissements en tout genre. Et bien détrompez vous. Eh oui, désolé! Je suis ici pour travailler et rédiger les premiers chapitres de ma nouvelle histoire. À la grande déception de ma petite amie qui m'accompagne. Elle aimerait que nous sortions davantage, mais malheureusement pour écrire j'ai besoin d'avoir une vie parfaitement réglée. Ici, par exemple, mon emploi du temps est assez strict. Tout d'abord lever à 7h30, puis 45 minutes de footing sur la plage et retour à l'appartement. Douche puis petit déjeuner. Ensuite à 9h, je prend mon ordinateur, mon ...
    ... ipod et je m'installe, chaque jour, à la terrasse du même bar avec vue sur la mer où je travaille jusqu'à 13h (sympa le bureau non?). Enfin je rentre à l'appartement. Je déjeune puis je pars à la plage ou alors je me ballade avec ma chérie, Jeanne. Et aujourd'hui, comme tous les autres jours,rien ne me fera changer mes habitudes. Rien sauf une certaine Mathilde... Voila donc près d'une semaine que je vis à ce rythme. Je finis de relire les dernières pages que j'ai écrites. Satisfait du travail accompli ce matin, je ferme mon ordinateur portable et regarde pendant, quelques minutes, le paysage paradisiaque qui s'offre sous mes yeux. Au large, on devine les formes mouvantes de petits bateaux de tourisme. J'imagine ces familles effectuant une croisière des plus agréable. L'agitation grandissante autour de moi me fait prendre conscience de l'heure. Il est temps de rentrer à l'appartement. Je salue Roger, le patron du bar. Cet anglais si amical est un ancien hippy, comme il y en a tant ici. Lorsque ses illusions sur la vie en communauté et le «power flower» se sont envolées, il est resté sur l'île et a ouvert ce bar-restaurant avec son compagnon. Ils m'ont accepté dès le premier jour, lorsque je cherchais un endroit où travailler. - À demain Roger! - A la mañana Ben! Et embrasse ta petite Jeanne pour nous! me répond-il avec son accent british toujours aussi présent malgré 40 ans de présence sur l'île. Jeanne, tiens justement. Je lui envois un sms pour l'avertir que je rentre. Elle ...
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