1. Belle fille(s) (15)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... forces pour plus tard, avec ma chérie ! Nous reprenons notre souffle et je demande à Laetitia : — Et bien ! Que t’arrive-t-il ? Tu ne dois pas voir ton copain tout à l’heure ? — Ben, disons que … Tout ça (elle désigne mon téléphone, sous-entendu le message de sa mère), ça me chauffe ! Et puis, ce soir, c’est plutôt une rencontre que l’on peut qualifier «d’officielle », donc pas de galipettes au programme ! Aurélie m’interroge : — Au fait, on fait comment vis-à-vis de Florian ? — Mais le plus naturellement du monde ! N’es–tu pas ma fiancée ? Dis-je en l’attirant à moi. — Tu es sûr que … — Absolument ! Demain, j’appellerai votre mère pour faire une mise au point. Je souhaite rompre notre mariage au plus tôt ! Et ainsi, d’être libre pour toi ! Les yeux d’Aurélie pétillent de joie, mais elle ne dit rien. Elle ne veut que m’embrasser, passionnément ! … Alors que nous préparons le repas, je reçois un autre message de mon épouse. Ce n’est pas elle qui l’a rédigé, car il y est écrit : « El é bone ta meuf ! » Ce genre de fautes est indigne d’elle, c’est donc une tierce personne qui a écrit ça ! Sur la photo qui accompagne, je vois Brigitte, les fesses à l’air qui est assise en amazone sur les genoux d’un jeune gars, lequel à une main entre les cuisses de ma femme, probablement pour la doigter. En arrière plan, un peu floues sur l’image, d’autres personnes sont en petits groupes. Je distingue toutefois ma belle sœur, enlacée par un jeune et surtout Maxime en compagnie d’une jeune ...
    ... femme, en jupe courte qui moule bien ses jolies formes. Assurément, Brigitte va me faire envoyer des images commentées de ses frasques, cela certainement pour pouvoir bien marteler mon cocufiage. J’avoue qu’elle y réussit et j’ai un pincement au ventre de la voir se faire tripoter par ces jeunes en chaleur et surtout qu’elle n’ait pas de scrupules à mêler ces inconnus à nos problèmes personnels. Aurélie me regarde, désolée et m’enlace pour me réconforter. Je me sens bien dans ses bras et lui dis : — Dès demain j’entame la procédure, je souhaite que cela se fasse à l’amiable, même si j’ai tous ces éléments en ma faveur. — Tu vas y laisser des plumes ! D’autre part, tu as tout ce qu’il faut pour gagner ton divorce. — Ce n’est pas l’essentiel ! Je veux que cela soit rapide ! En outre, avec ta mère, j’ai vécu de longues années de bonheur ! Je ne souhaite pas en faire une affaire d’argent, uniquement pour ce moment d’égarement, que j’espère passager. — Tu parles de nous deux, en disant « un moment d’égarement » ? — Non pas du tout ! D’ailleurs, je ne me suis pas égaré en te trouvant ! Tu es ce qui est le mieux qui me soit arrivé dans la vie ! — Vraiment ? — Vraiment ! Dis-je en la pressant contre moi. Avec cette intimité resserrée, j’ai le sentiment que nos corps vibrent à l’unisson, que nos âmes se mélangent et que notre amour pulse d’un cœur unique. Cela est exprimé sans exagération de ma part ! J’ai réellement le sentiment de n’être qu’un avec elle. C’est ça, le véritable sens de ...