1. Tournante à l'hôpital sur un chibre phénoménal en "libre service" (1)


    Datte: 17/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Les hommes y vont franchement, palpations des couilles, certains me serrent tellement la hampe que la peau fine du gland risque d’exploser sous la pression accrue du sang devenant énorme et violacé. Les filles y vont plus en finesse faisant coulisser leurs mains le long de la verge resserrant les doigts qui ne se touchent qu’au niveau du frein. -Alors ! Reprend le professeur. Le diagnostic ??? Les commentaires fusent, graveleux, strictement anatomique, interrogatifs et divers suivant les internes. Les superlatifs fusent. -Une vraie queue d’âne ! -Bien proportionné. -Ca doit pas être rigolo tous les jours de se trimbaler un tel engin. Les filles s’échangent en catimini leurs appréciations. -Tu crois que c’est un bon coup ? -Je ne sais pas mais j’aimerais bien tester. -Je me demande si je pourrais supporter un tel pal en moi. -Tu as deux jours pour essayer, il ne s’en rendra même pas compte. Elles éclatent de rire. Ils sont enfin partis me laissant seul dans la chambre sans même recouvrir mon corps dénudé. Mais pas pour bien longtemps car deux aides-soignantes viennent faire leur travail et me découvrent toujours la bite à l’air au garde-à vous perpétuel. Une belle blonde et une Martiniquaise. Elles se mettent de chaque coté du lit pour le retaper. Elles ont beaux être blasées, leurs regards sont attirés par Popaul. La blonde attire l’attention de sa collègue. — Pour une fois ça nous change des grincheux habituels. Tu sais que le téléphone arabe fonctionne bien, en quatre ...
    ... heures, tout le personnel féminin ne parle que de ce patient et de son défonce-cul. -Regarde ça ! Réplique la fille des îles en regardant mon chibre tellement dur qu’il ne repose pas sur mon ventre mais reste décollé de deux centimètres. Aussi raide qu’un bâton de gendarme ! Elle le redresse d’une main à la verticale. -Dommage que je ne puisse pas l’emmener chez moi, ajoute-t-elle, il me faut les deux mains pour en faire le tour! -J’ai bien une idée… glousse-t-elle en abaissant le lit. Je vois en contre jour qu’elles n’ont que leurs sous- vêtements sous leurs blouses. — Tu surveilles la porte ? Chez nous on est habituées au gros calibres mais là il faut que je vois si ça rentre, mais avant il faut huiler cet axe. Elle se penche et crache sur mon nœud puis écarte les lèvres pour en engloutir le maximum dans sa bouche distendue et suce mon chibre. Puis elle passe une jambe par-dessus moi. Elle porte sa main à sa bouche pour humecter ses doigts de salive avant de les glisser entre ses cuisses pour mouiller sa chatte en repoussant sa culotte. Elle s’accroupit sur mes jambes, de l’autre main elle se saisit de ma matraque. — Putain, je n’ai jamais touché un manche aussi gros et si dur! À quelques centimètres de moi je découvre une grande fente brune qui fend son abricot bombé. Elle promène mon gland plusieurs fois sur sa vulve prête à s’empaler. — Attends ! Conseille la blonde en fouillant dans une de ses poches et en ressortant une capote. -A l’hôpital il faut toujours se protéger, je ...