1. Fantasme d'été


    Datte: 17/09/2019, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... court à l’examen savoureux et des plus excitants de mon anatomie, j’examinai le creux de mon ventre gorgé de soleil où subsistait une petite mare provenant de mes cheveux mouillés. L’eau se frayait un chemin entre mes seins et aboutissait dans l’adorable cavité de mon nombril. Mon regard aboutit alors sur mes seins. Larges, gonflés, sans être lourds, juste ce qu’il faut pour les trouver désirables. Leurs prolongements, ornés d’une dentelle de chair rose, frémissaient délicieusement sous la brise qui venait s’y frôler.Je jetai un dernier coup d’oeil circulaire avant de m’étendre de nouveau sur la pierre. Je pris doucement mes seins entre mes doigts, les caressant jusqu’à ce qu’un agréable chatouillement vienne agacer leur extrémité. Par pur plaisir, je roulai les bouts qui se durcissaient davantage sous mes caresses. Cet adorable contact accroissait l’éveil de mes sens. Je sentis une douce chaleur envahir mon ventre et descendre vers mon sexe dans une vague qui se faisait de plus en plus ardente. Des soupirs d’aise naquirent sur mes lèvres et accompagnèrent le froissement des feuilles qui jouaient avec ?ole, Dieu des vents. Mes doigts délaissèrent ma poitrine pour entamer une descente empreinte de cajoleries. Ils étaient frais et créaient sur leur passage une fébrile chair de poule sur ma peau. L’aventure de mes mains se poursuivit vers l’intérieur de mes cuisses. Elles tremblaient sous les caresses que je leur prodiguais. Je retardais le moment où j’allais toucher mon sexe, ...
    ... mais bientôt le désir de la chair se fit plus criant que ma volonté. Il me semblait que le soleil, dardant, intense, pénétrant, se réjouissait des frémissements qu’il ajoutait à mon trouble.Je fermai les yeux et m’abandonnai à ce délicieux instant, où le désir de la chair est maître des gestes. Mes doigts, qui exploraient chaque millimètre de ma vulve, étaient à la recherche du plaisir suprême. Entre mes lèvres gonflées par la fièvre, un doigt trouva le bourgeon de ma nymphe surexcitée d’impatience. Dès les premières pressions, mes doigts ne voulurent plus quitter ce foyer. Ma jouissance s’intensifiait et provoquait, à la longue, une abondante rosée qui s’infiltrait dans les replis de ma faille secrète. Ce petit lait rendit mon plaisir encore plus suave. J’étais maintenant sourde aux chants des oiseaux, aux bruissements des feuilles. Je devenais le gémissement de mon délire et la vibration de tous mes sens à l’unisson.Après cette exquise euphorie solitaire, j’entrouvris les yeux. Du ruisseau, un homme avait les yeux braqués sur moi. Mais qui était-ce ? Je me sentais légèrement confuse mais surtout amusée par ce que je pouvais deviner. À genoux dans l’eau, il avait les mains complètement immergées. ’ Ce qu’il peut être beau ! ’ me suis-je dit, lorsque mes yeux quittèrent le tourbillon incessant à la surface de l’eau, provoqué par l’entrain du branleur inconnu. Sa peau cuivrée dévoilait les heures passées aux champs à trimer dur. À en juger le tonus de ses muscles, je présumai ...