1. Falco et moi (1)


    Datte: 17/09/2019, Catégories: Zoophilie,

    Cet événement s’est passé récemment et je tiens à vous faire part de mon avis sur un sujet que certains n’approuvent peut-être pas mais qui semble concerner bien plus de personnes que l’on ne croit : LA ZOOPHILIE. J’avoue avoir eu dans ma jeunesse quelques contacts avec le chien que nous avions à l’époque un berger allemand. Des caresses, des séances de léchage mais jamais je n’ai osé aller plus loin. A l’époque internet n’existait pas, ce n’était pas facile de se documenter et je n’habitais pas à la campagne où je pense que ces pratiques devaient être courantes. J’ai 60 ans, je suis à la retraite et il arrive assez souvent que l’on me demande quelques petits services, dont celui de garder un chien lorsque ses maîtres s’absentent pour voyager. Ce chien est très gentil et calme en apparence. C’est un labrador noir âgé de trois ans répondant au nom de Falco. C’est un chien calme et gentil, il s’est habitué à moi très facilement. Nous allons souvent faire de longues promenades dans la nature où je pouvais le laisser courir en toute liberté. Lorsque nous rentrons, Falco s’allonge sur son tapis installé près du canapé. La propriété à l’abri des regards me permet de pratiquer le nudisme. Cette après-midi-là je m’étais assoupi, un peu fatigué de notre longue balade lorsque je fus réveillé par une sensation étrange sur mon sexe, en ouvrant les yeux j’apercevais Falco en train de me lécher mes parties génitales. Cela avait réveillé en moi d’anciens souvenirs, de très bons souvenirs. ...
    ... Je le laissais faire en m’installant plus confortablement les jambes bien écartées. Sa langue râpeuse s’activait sur mes couilles et remontait jusqu’au gland qui grossissait rapidement. Je fermais les yeux pour savourer ce moment, cette langue était efficace et magique. Le chien commençait lui aussi à s’exciter, un bout rouge sortait de son fourreau. Je caressais son poitrail et je remontais jusqu’à son sexe. Il était dur, des jets de mouille m’aspergeaient la main et Falco donnait de légers coups de reins. Je serrais doucement son sexe pour le masturber lorsqu’il sortit complètement. Il était impressionnant de par sa taille, il était rouge violacé et luisant de mouille. Je cessais toute action sur ce membre pour ne pas lui faire mal car après m’être renseigné je sais que le sexe d’un chien est fragile et sensible. J’avais les doigts maculés de son jus, instinctivement je les portais à mes lèvres, le goût n’était pas désagréable, à vrai dire il me plaisait. Falco se retournait vers moi et semblait tout penaud ou peut-être triste que je cessasse de lui caresser le sexe, qui s’était rétracté dans son fourreau. Je lui représentais mon sexe pour qu’il le lèche. Les coups de langue me procuraient un plaisir que jamais une fellation ne m’avait donné. Ma queue devenait très dure, quant au chien le bout rouge ressortait de son fourreau. Sa langue essayait d’atteindre ma raie, je me positionnais appuyé sur le canapé pour lui offrir ce qu’il convoitait. Après quelques coups de langue ...
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