1. 2 - Dénouement


    Datte: 17/09/2019, Catégories: fh, ff, ffh, parking, vengeance, photofilm, intermast, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, extraconj,

    ... mandrin qui la possède. C’est terriblement excitant de la voir faire. Avec le bandeau, j’ai l’impression de me faire faire une pipe par une inconnue. Mon sexe durcit. Il brille de salive et des filets s’étirent entre le gland et ses lèvres. Je me retire. Les deux femmes gémissent doucement sous leurs assauts. Qui possède ? Qui est possédée ? Chacune joue avec les seins de l’autre comme l’application de la maxime : « ne fait aux autres que ce tu aimerais que l’on te fasse ». Je fais le tour du lit. Charmant spectacle des fesses de mon épouse. Je me penche pour lécher son sillon. Ma langue s’attarde sur l’œillet. Un doigt prend sa place et déflore une nouvelle fois l’anus. De la salive. Beaucoup de salive. Arrivé à ce stade, elle sait ce que je vais faire. Elle se penche un peu plus sur sa partenaire. Ma queue est en place. Le gland est à la porte. Je joue à simuler la sodomie en poussant légèrement. Aussitôt Anne se prépare en se décontractant. Mais je ne vais pas plus loin. Je veux quelque chose de plus qu’une simple sodomie. Mon Smartphone est dans ma main. Je déclenche le montage que j’ai largement eu le temps de préparer dans l’embouteillage. Je fais passer en boucle le moment où elle dit « Non, dans mon cul ». C’est surréaliste de l’entendre, même si sa voix est déformée par le mauvais haut-parleur, répéter, dix, vingt fois « Non, dans mon cul ». Enfin je l’éteins et j’attends. A-t-elle compris ce que je veux ? Car je veux qu’elle me demande de la sodomiser. Je veux ...
    ... qu’elle soit « cochonne » comme elle l’a été avec les deux autres. Je veux, moi aussi, avoir le meilleur. Pas seulement la mère de famille qui, même si c’est vrai, ne rechigne pas au sexe, ne se livre pas comme avec les autres. Non je veux une femme, cochonne, salope, prête à jouer la pute, à provoquer, à demander, proposer les positions les plus « bandantes ». Car si je peux pardonner, il faut que chacun y trouve son compte. Je fais sauter son bandeau. Elle tourne la tête. Nos regards se croisent. J’esquisse un sourire. Elle aussi. Sans parler, tout est dit. — Nathan, mon chéri, encule-moi. Voilà le pas est franchi. Je savoure l’instant. — Comment ?— Oh, oui, encule-moi. Mets ta queue dans mon cul. Sodomise ta salope de femme. Pète-moi le fion. C’est idiot, mais je suis heureux. Pourtant ces mots sont vulgaires. Ou vont se nicher les fantasmes ! Une poussée et mon gland perce l’anus, dilate le sphincter, ouvre le chemin en avant-garde de la hampe. Oh, ce n’est pas si facile. Le gode a pris ses aises et semble occuper toute la place. Ahhh ! Cri de plaisir ou de douleur ? Anne se tortille, comme pour desserrer l’étreinte sur ma bite. J’avance lentement, rampant le long de ce bâton rigide déjà en place de l’autre côté de la fine paroi. Ce serait plus facile si une vraie queue remplaçait le gode, plus souple, plus partageuse. Ahhh ! Toujours. Elle ne cesse de geindre, mais ne se dérobe pas. Enfin, j’y suis arrivé. À fond, bien au chaud, mais serré, étranglé comme dans la chatte d’une ...