2 - Dénouement
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
parking,
vengeance,
photofilm,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
extraconj,
... raide vers le ciel. À mon tour de m’immiscer entre les femelles. Je me lève et fais le tour du couple, flattant une croupe, frottant ma verge tendue contre les fesses, embrassant chacune tendrement dans le cou. Aucune ne se dérobe, au contraire elles se cambrent pour mieux me sentir. Puis je prends ma femme par la main et la guide vers la table basse. Je la dirige de façon qu’elle s’y allonge sur le dos. D’un geste, j’attire Marie et lui montre pour qu’elle se place tête-bêche sur son amie. Cela se passe si naturellement que cela doit faite partie de leurs jeux entre femmes. Chacune entreprend de caresser sa partenaire dans ce qu’elle a de plus intime. Anne écarte les lobes fessiers pour que sa langue parcoure le sillon, glissant du clito à l’anus. Marie, que je découvre gourmande, se presse si fort entre les cuisses de ma femme que son nez semble disparaître entre les petites lèvres pendant qu’elle suce le clitoris. En un instant, elles ont oublié ma présence et ce ne sont que grognements étouffés, bruits humides et mouvements saccadés. Ce spectacle me trouble, et m’excite encore plus. Quel homme n’a pas rêvé de se trouver dans ma situation, les cornes en moins. Je tourne autour de cette bête à deux dos. Mes doigts explorent. Elles ne me refusent rien. Je suis leur maître. Je bataille avec une langue pour plonger dans un sexe si ouvert qu’aucune résistance n’est visible. Même l’anus se laisse posséder, œil grand ouvert sur des abîmes de lubricité. Marie aussi accepte ce ...
... chemin. Inutile de demander si Anne est une adepte de la sodomie. Déjà avec moi, elle acceptait de se faire « enculer » et les vidéos ne font que renforcer son goût pour ce chemin. Mon sexe semble si lourd que jamais il n’a été si gros. Je présente ma queue aux portes de ma maîtresse d’un jour et j’investis ce vagin qu’elle m’a si souvent proposé et que j’ai bêtement refusé. J’entre sans effort et bientôt je suis au fond. Quel délice d’investir une chatte toute neuve pour moi. Quel délice de sentir mes bourse caressées par une langue familière, celle de ma femme. C’est comme une autorisation, un blanc-seing, un encouragement, peut-être même une sollicitation. Mais oui, une demande que je m’empresse de réaliser. Quelle bonne idée. Sortir doucement ma verge de ce lieu accueillant et la laisser se faire happer par la bouche gourmande de mon épouse. Elle a tant à se faire pardonner. J’ai encore sous les yeux les images de sexes qu’elle suce et qu’elle va… Sans m’en rendre compte, emporté par ma colère, je pousse si fort ma queue dans sa gorge qu’elle l’absorbe complètement, mes bourses venant buter contre ses lèvres. Elle étouffe et ses sursauts me ramènent à la réalité. Je me retire et plonge dans le con de Marie. Quelques coups de va-et-vient puis je reviens dans la bouche de ma femme que j’utilise encore avec violence. D’habitude je suis beaucoup plus doux, mais je veux qu’elle ressente ma hargne de cocu. Elle ne se plaint pas et se prête à mes ardeurs. Après tout, peut-être ...