Une journée particulière: Exhibition - Histoires de Sexe

Une journée particulière: Exhibition

Flash-Back La Normandie, cet été, une simple promenade dans les dunes… Tu déchires ton maillot de bain sur une branche et passes une simple robe de plage très courte sur tes fesses désormais nues. Attiré par la disponibilité soudaine de ton entrejambe, je ne peux me retenir de glisser une main frolâtre sur tes fesses, relevant chaque fois un peu plus ta robe jusqu’à finalement découvrir entièrement la rotondité de ton postérieur… Tu découvres l’excitation secrète d’être surprise, le plaisir trouble de l’exhibition. Une promenade un peu plus longue que d’ordinaire… J’ai planifié cette soirée avec soin, choisissant chacun des lieux pour te proposer un programme pimenté de quelques fantaisies que tu n’as pas cette fois franchement refusées ne m’opposant qu’un faible « On verra », avec dans la voix un chevrotement léger marquant ton accord implicite. Nous nous préparons, je ne peux te quitter des yeux tandis que tu passes un petit string blanc sous la jupe que je t’ai spécialement offerte pour cette occasion, une jupe bleue assez sage à la coupe ample et qui arrive juste au-dessus de ton genou. Pour le haut, tu choisis un petit top blanc légèrement transparent, qui laisse deviner un soutien-gorge en dentelle des plus affriolants qui renferme tes seins. Tu es belle à en couper le souffle, j’ai envie de toi… Direction les Champs Elysées, au programme : dîner à L’Atelier (ancien pub Renault) et séance de cinéma. Le restaurant présente une particularité, prétexte à la première de ...

... mes fantaisies : certaines tables sont en effet dressées sur une passerelle, cinq mètres au-dessus du show-room Renault où se pressent touristes curieux et passants blasés. Nous choisissons un repas aussi simple que savoureux : salade d’écrevisses aux agrumes et poissons grillés. Alors que le serveur vient tout juste de desservir et nous propose la carte des desserts, tu te lèves et me souffles un « Je reviens ». Je suis surpris que tu prennes ainsi la direction des opérations, surpris de ne pas avoir à te convaincre au dernier moment… À ton retour, je ne peux m’empêcher de loucher sur ta jupe pour deviner si tu as bien retiré le morceau de tissu qui entravait ton sexe, sans parvenir à en être totalement sûr. — Je n’ai pas osé. Par cette simple phrase, tu as ruiné tous mes plans. Je suis comme anéanti, j’ai envie de te maudire. Je sens mon visage se fermer et m’entends répondre un « C’est pas grave mon amour » de circonstance qui sonne bien creux. Je tente malgré tout de relancer notre soirée : — Dommage, j’aurai bien aimé t’obliger à t’exhiber en écartant largement tes cuisses pour que les petits malins qui regardent les tables au-dessus d’eux soient récompensés.— En les écartant comme ça ?— Oui à peu près. Tu t’es joué de moi. Un sourire moqueur flotte sur ton visage, tu me nargues, tu affirmes ainsi que tu viens de prendre le contrôle de mon désir, soulignant que toi seule as le pouvoir de satisfaire mon fantasme… Nous échangeons un long regard complice, je t’aime. Tu prends ...