1. Pauline - années adulte (3)


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Erotique,

    Chapitre 3 Je ne suis pas allé travailler ce jeudi matin. Les routes n’étaient pas dégagées de la neige ; même si les transports en commun n’avaient pas été bloqués également, je ne les aurai pas pris. J’avais une autre motivation : Pauline était dans mon lit. Je l’entendais se lever. • Bonjour Pauline, bien dormi ? • Yvan ?... J’ai entendu la porte d’entrée tout à l’heure, j’ai cru que tu étais parti... Je vais m’habiller. • Non... Enfin, comme tu veux... J’aimerai que tu restes nue, si ça ne te dérange pas. • … Je ne suis pas très présentable. J’ai les poils du minou qui partent dans tous les sens… • J’ai vu. Au moins, je sais que tu n’es pas une vraie brune... Les transports en commun sont bloqués et ils n’ont pas encore commencé à dégager les routes. Mais, je suis allé voir si la boulangerie était tout de même ouverte... Je ne savais pas trop bien ce que tu aimais... Il y a des croissants, pains au chocolat et au raisin. • Merci. J’aime tout. Il est quelle heure ? • Presque 11 heures... Je peux te faire couler un bain, si tu en as envie. • Tu le prendras avec moi ? • Ca me ferait très plaisir. Mon dieu, comme elle était belle. Ses yeux se mirent à scintiller instantanément et un sourire timide se dessina sur ses lèvres. Je ne sais pas pourquoi nous restions à distance l’un de l’autre. Peut-être avions nous peur l’un comme l’autre que cette pulsion incontrôlable nous reprenne, celle-là même qui lui donna envie de monter chez moi, de nous déshabiller avec précipitation et ...
    ... de passer une bonne partie de la nuit à découvrir le corps de l’autre. Nous n’avions quasiment pas parlé. C’était comme si nous avions les mêmes envies au même moment. A peine m’étais-je demandé quel goût elle avait qu’elle s’était mise en position pour que je place ma tête entre ses cuisses ; à peine avais-je eu le temps d’avoir envie qu’elle me suce qu’elle avait déjà mon sexe dans sa bouche. Et ça avait été comme ça pour tout ce qu’on avait fait. Mais, pour le moment, nous étions d’une timidité extrême l’un envers l’autre. Elle me demanda • Je peux m’assoir sur le canapé ? • Heu, oui évidemment. Mets une couverture sous tes fesses, le cuir froid ce n’est vraiment pas très agréable. Veux-tu un jus d’orange ? • Je veux bien, merci. • Je ne savais pas que tu connaissais mon adresse. • ... Lorsque tu as annulé, je suis allée voir Nathalie pour me plaindre. Elle aussi était en colère contre toi, mais je n’ai pas compris pourquoi. Et après avoir un peu discuté, elle m’a donnée ton adresse en me faisant promettre de t’obliger à me parler enfin. • Et je peux savoir de quoi vous avez discuté ? • Du fait que j’abandonne mon travail parce que je suis amoureuse de toi... Pourquoi était-elle en colère ? • Je lui avais promis de ne pas me défiler cette fois, et de te parler enfin en tête à tête. • Pourquoi tu me fuis tout le temps ? • Parce que je pense à toi à tout le temps depuis le premier jour que je t’ai vu et j’avais peur de ne pas te convenir, d’avoir un geste déplacé envers toi ...
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