1. Carine manipulatrice


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, hagé, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, humour,

    ... tomate, faut la faire partir à l’eau froide tout de suite, sinon cela s’incruste. Je ne sais quoi dire, ni comment réagir. Par contre mon corps, lui, le sait, mes pointes de seins s’allongent et ma rivière intime se met à couler. Pas encore satisfait, il me tire devant l’évier et continue son nettoyage à grande eau, frottant par-dessus un peu partout. Malgré moi, je commence à prendre plaisir à ses manœuvres, surtout que jusque là, si sa main est entre mes seins et mon t-shirt, il ne m’a pas encore touchée. Quand je vois soudain son regard à l’intérieur de mon décolleté qui doit bien être écarté de 30 cm, je sens une pointe de plaisir prendre vie entre mes jambes qui flageolent, me faisant perdre pied. Le dos de sa main en s’enlevant, frotte un de mes seins, renforçant ma jouissance. Je termine essoufflée soutenue par une main sur mes hanches, l’autre à la limite entre mon sein et mon dos. — Eh oui ! Quand le sol est mouillé, il glisse beaucoup. Je termine le repas avec un t-shirt transparent et autant d’humidité entre les cuisses. Il est 15 h quand je quitte M. Gérard. — Voilà votre dû, 45 € et ceci pour vos bons services et avoir apporté un peu de soleil dans mon rez-de-chaussée. Je viens de recevoir au total deux billets de 50, cela valait vraiment la peine que Ducros se décarcasse. Et en plus, j’y ai pris du plaisir. N’empêche, je ne suis pas trop fière en remontant les escaliers avec mon haut encore mouillé. Je ne croise personne. J’en suis presque déçue. La fin de ...
    ... la journée se passe avec mon nettoyage. Si je retravaille, je n’aurai presque pas le temps ou l’envie de le faire après le boulot. En soirée, je me fais une toile. Je vais voir les « ch’tis », je rigole comme une baleine, et je ne suis pas la seule. Par contre, je suis l’une des seules filles non accompagnées. La plupart sont, soit avec leur mec, soit avec une bande de copains. J’aimerais que Steven soit là, avec moi. J’aimerais le voir rire, le voir pleurer, lui tenir la main tout simplement. Je commence à être sérieusement mordue, je crois. Et quand Antoine demande la main d’Annabelle, je ne peux m’empêcher de pleurer. J’ai un peu le cafard. En sortant, je repère un dragueur qui a l’air de s’ennuyer en n’attendant qu’une seule chose, que la fille qu’il sort l’accepte dans son lit. Je m’avance droit sur eux, je lui roule un patin express : — Salut chéri, j’ai pas eu le temps de t’appeler depuis la semaine passée, mais on se voit quand tu veux dès que j’ai moins de boulot. Et je repars avant que l’un des deux ait réagi. Je me gare sous un porche un peu plus loin, et je regarde le crêpage. Il en prend pour son grade, c’est pas ce soir qu’il va tirer son coup. Mon cafard est parti, avec ce couple tout à fait inconnu. Je passe devant unQuick et je m’offre un milk-shake fraise, un de mes péchés mignons. Je m’absous en songeant au nombre de fois où j’ai pris l’escalier cette semaine au lieu de l’ascenseur. Dimanche, je vais au marché. Je fais les provisions pour la semaine avec ...
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