1. COLLECTION ZONE ROUGE. Rupture familiale (1/2)


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    • Oui mon chéri. Tout à fait d’accord mon chéri. Je vous apporte votre whisky mon chéri. Voulez-vous me prendre mon chéri ? Cette dernière, maman aurait pu la dire tellement elle est inféodée à mon père, bien sûr, je la suppute, c’est comme cela dans notre milieu, celui des bourges parisiens. Nous habitons à Neuilly, je peux dire que je suis née avec une petite cuillère en argent. J’ai appris, il y a peu de temps que le mariage entre ma mère et mon père avait été arrangé il y a 17 ans, je suis née pile neuf mois après, quels cons, un coup et ça a été le bon. J’ai de plus en plus de mal à supporter, la carpette qui me sert de mère, quand je la vois minauder devant lui alors qu’ils en sont rendus à faire chambre à part, notre hôtel particulier étant assez vaste pour qu’il ait sa chambre de l’autre côté du couloir. Je décide donc, d’entamer une vie différente de la leur et surtout de celle de maman. • Allô, Julien, j’ai un problème de math qui me résiste, peux-tu me dépanner, je t’attends. Julien, certainement puceau comme je suis vierge, c’est lui que j’ai choisi pour être le premier, me débarrasser de mon hymen, c’est lui que je choisis étant le seul en qui j’ai confiance pour garder ça secret. • Entre, je suis seule, mes parents sont dans leur maison de Deauville. Comment l’attaquer, lui baisser la culotte, lui prendre la queue, la mettre dans ma bouche comme je l’ai vu faire de nombreuses fois dans des films pornos sur mon IPhone ? Les pornos sur les portables pour la ...
    ... jeunesse, la plaie des parents, leurs rejetons trouvant facilement comment détourner les moyens des protections qu’ils ont mis. Ça été mon cas, j’ai mis trois jours pour faire tomber les barrières. Cet à cette époque que j’ai découvert que les filles avaient un clitoris, même si les cours d’anatomie ayant été assez complet, doublé d’un reportage sur les saloperies que l’on fait aux jeunes filles dans certains pays, sous couvert de tradition ancestrale, fond que j’ai appris à me masturber. C’est facile pour moi, j’ai ma chambre au deuxième étage, j’ai toute la surface à ma disposition, c’est dans ma pièce où j’ai mon ordi et tout le matériel que j’amène Julien. Je m’interroge, quand d’un coup, je prends l’initiative, je lui mets la main là où je sais trouver la bite qui va faire de moi une femme, brisant ainsi les traditions familiales qui veulent que ce soient nos parents qui ont le choix de nos maris. • Que fais-tu, Loïse, pourquoi passes-tu ta main dans mon pantalon ? • J’ai envie, tu veux bien, tu seras le premier. C’est à ce moment qu’une giclée de sperme arrose ma main, le grand benêt se retrouvant trop con et prenant la poudre d’escampette me laissant avec mon problème. Il fallait que je trouve une autre solution, les jeunes puceaux, c’est terminé, il me faut un homme, un vrai, un qui a de l’expérience. Je fais le tour de ce type d’hommes, il y a Hubert, le mari, de Marthe, nos employés, lui s’occupe de l’entretien, occasionnellement, il est le chauffeur de mon père ou de ma ...
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