1. Paix Syndicale


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... taponner chienne! Bouge ton cul! » Lentement la femme commence à monter et descendre sur la bite de son tourmenteur. John Bloom s'avance vers elle et lui allonge une puissante gifle. Elle doit s'accrocher aux jambes du baiseur pour ne pas tomber et garder un semblant de rythme. Alors que l'empreinte de la main de John prend une couleur rougeâtre sur son visage, elle prend la parole sans arrêter de baiser l'homme étendu sur le sol. « Je... suis la.... touffe de la ... arrgh... mine. » Le gars au sol lui donne périodiquement de violents coups de queue, mais jamais la fille ne stop son discours. « Je suis la femme ... Unnh...de Mark Cassidy. » « Quand mon... mari était patron de la mi...... Ahiiie ... ne » L'homme lui assène une cuisante claque sur le cul pour qu'elle bouge plus vite. « Il a voulu mater... le... syndicat. Il a congédié John. » À la mention de ce souvenir, ce dernier lui envoie une puissante gifle. Mme Cassidy poursuit. « Unhh... Peu de temps après, Mark... a été battu et nous avons été harcelé quotidiennement par... » « Ahhh moins fort SVP... » «... tous le monde au village. » Les larmes coulent alors librement sur ses joues. Voyant cela John lui ordonne. « Allez chienne bouge tes tétons. » Immédiatement, la pauvre femme augmente le rythme de ses vas et viens et laisse librement bondir ses seins, rendus moins fermes par l'âge et les abus, sur sa poitrine dans un bruit de claquement. « J'aime les voir bondir comme ça. » « Jouie salope! » Sur ce, Mme Cassidy se ...
    ... lance dans le plus mauvais orgasme simulé qu'on ait connu. « Ah oui, Ah oui, plus fort... Baise-moi... Aahhhhh! Ihhhhh! Je jouiiiiie!!! Aaaaahhh! » Le tout est dit sans aucune conviction, son visage traduisant sa douleur et sa honte. John et les autres rient à gorge déployée. « Elle n'a jamais réussi à jouir correctement. Malgré son dressage, elle est incapable d'y arrivée. » « Allez continue garce. » Elle reprit son vas et viens plus lentement. « Nous avons appelé ... la police. Arggh... mais le policier du.... village est l'ami de John... » THUD! L'homme que chevauchait madame Cassidy la projette sur le sol. Il prend la femme par les cheveux et, sans ménagement, la dispose à quatre pattes, sa tête reposant sur les genoux de Christine. L'homme lance un salut de la main au couple terrorisé et leur fait un clin d'œil amusé. C'est le policier. « Marc a tenu son bout, le harcèlement s'est transformé en guerre. Ma sœur a été agressée. Mon fils battu à l'école et ma fil... fille ». Le reste de la phrase s'est perdue dans les sanglots. Le silence était total dans la pièce à l'exception des pleurs de Mme Cassidy qui mouillaient la chemise de nuit blanche de Christine. Elle reprend rapidement, le souffle court. « Une nuit, ma fille de 18 ans est revenue chez nous à moitié nue, les vêtements déchirées, des bleues partout sur le corps, les cheveux et le visage couverts de sperme séché. » Vint un long moment de silence. « Sur son dos et ses fesses, on pouvait lire écrit au feutre: La ...