Ashram Shambala
Datte: 24/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
J'avais alors 25 ans. J'étais un jeune homme sans histoire, chômeur sans qualification et je me désespérais. Ce que je vivais le plus mal, c'était mes rapports avec les filles, toutes celles que je trouvais étaient fades, ennuyeuses. Ce qu'elles m'offraient était indigne, je n'avais jamais pu pratiquer la sodomie, je n'avais jamais éjaculé à la figure d'aucune (ce qui me semblait quand même le besoin rudimentaire de tout mâle)... Mais même celles qui acceptaient de me sucer le faisaient du bout des lèvres en n'introduisant que le gland et se détournaient dès que ma jouissance s'annonçait, m'abandonnant tristement au seuil du bonheur sans même me finir à la main. La misère! Surtout pour moi qui ai depuis toujours des fantasmes de domination. Il devrait y avoir une loi contre ces filles, elles disent qu'elles sont amoureuses et font un air dégoûté quand on leur parle d'avaler en jurant qu'elles ne le feront jamais. Drôle de conception de l'amour! Surtout qu'elles traitent notre semence comme si c'était dégueu, alors qu'elles sont si contentes d'en trouver pour avoir des marmots... Toutes ces femmes qui ne sont pas de vraies femelles qui devraient être dévouées à leurs mâles et tout accueillantes... C'est sans doute parce qu'on n'est pas assez virils pour qu'elles se sentent naturellement femelles, on n'ose pas sauter le pas, on a stupidement peur de perdre quelque chose alors qu'on a rien à perdre puisque ce que l'on a ne nous satisfait pas. J'aurais dû leur imposer la ...
... faciale par exemple, j'avais pas assez de couilles, j'étais trop gentil garçon et les femmes n'aiment pas les gentils garçons, ne les respectent pas. Une fois l'acte sexuel à deux consommé, j'étais obligé de m'isoler aux toilettes avec mon ordinateur pour m'y branler devant des vidéos d'éjacs faciales pour calmer ma rage et ma frustration. Je me maudissais de me laisser imposer de tels affronts, surtout venant de filles sans saveur et sans sensualité qui ne faisaient même pas l'effort de se faire belle et qui devraient être bien contentes que l'on daigne s'intéresser à elles. Je ruminais mon spleen quand je fus attiré par une affichette postée sur la vitrine du magasin bio en bas de chez moi. C'était la pub pour une conférence sur le chamanisme Sibérien. Ce qui m'avait phénoménalement attiré, c'était la photographie de la conférencière, elle s'appelait Ramona. J'étais intrigué de cette latina qui prétendait présenter une discipline slave. Je suis resté un moment béat devant cette quintessence de la féminité. Elle était tout ce qui manquait dans ma vie, tout en elle était féminité, elle irradiait la sensualité délicieuse qui avait toujours été étrangère à mon existence. C'était une femme semblant à la fois jeune et mûre, elle était très maquillée mais, contrairement à la majorité des femmes, serait bandante même sans ça. Une fois mon trouble passé, je remonte en quatrième vitesse dans mon appartement allumer l'ordinateur pour faire une recherche sur celle qui vient de totalement ...